Les classiques et Marx en économie

La pensée économique: les grands courants traditionnels.

La réflexion éco 1er lieu chez les philosophes grecs. Etude de l’économie au sens familial et au sens gestion de la cité .Aristote et Platon = science économique.Au moyen-âge la morale chrétienne a inspiré la pensée éco de l’époque. Ex: le prêt à intérêt était interdit , développement économique limité. Ont plus profité de cette évolution: c. juive. H Les banquiers sont de tradition judaïque. L’église réformée, les protestants montrent que l’enrichissement personnel était +. 16 et 17eme les mercantilistes préconisent l’abondance de métaux précieux (intervention état et développement population en nombre nécessaires)Ce courant existe du 16eme au 18eme.L’économiste Quesney, qui explique: l’économie est un circuit dans lequel il y a des flux entre différents acteurs. 18eme, 19eme émergence d’analyses théoriques

 

A. Les classiques ( avant Marx).

L’origine de l’analyse classique = période des révolutions industrielle. Objet : l’observation de l’éco en pleine transformation. Auteurs d’accord avec la révolution, pas de critique mais un accord, une tentative d’explication des phénomènes qui sont liés à la révolution industrielle.

Révolution industrielle: passage de l’artisanat dans des petits ateliers à l’industrie, les manufactures. Transformation du monde ag .Transition démographique, populations en expansion, bcp de bouches à nourrir :devoir améliorer la production agricole, multiples innovations techniques, invention du métier à tisser mécanique, invention de la machine à vapeur. Ces innovations technologique ont permis une orga diff et + efficace des manufactures. Adams Smith dans recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations (1776) jette bases de l’économie et l’analyse , il soulève : le libre échange, la division du travail, principe de management, le libéralisme économique. Jean Baptiste Say dans traité d’économie politique (1803) , défend les liens entre l’offre et la demande sous forme d’un marché. Thomas Malthus (le malthusianisme) Essaie sur le principe de population (1803) l’idée du malthusianisme est l’analyse des populations, il fallait maitriser les flux de population pour pouvoir nourrir la population, il défend l’idée de maitrise de l’évolution de la population. David Ricardo principes de l’économie politique et de l’impôt (1817) il a développé les thèses du libre-échangisme.

a. la théorie de la valeur travail Smith et Ricardo distinguent la valeur d’usage d’1 bien et la valeur d’échange des biens. La valeur d’usage d’un bien dépend de la satisfaction, utilité qu’il procure à la société. La valeur d’échange correspond à la quantité d’autres biens que l’on peut obtenir en échange du bien produit. Les éco classiques : la valeur d’échange , correspond à la quantité de travail nécessaire à la fabrication du bien.

Pour Ricardole travail peut être un travail direct ou un travail indirect , letravail direct la valeur apporter par l’humain et le travail indirect la valeur apporter par intermédiaire des machines utilisés pour la production. Les biens de production crées grâce au travail direct. Plus il y a de travailleur plus la production est élevée. Pour Smith, produire mieux, augmenter la productivité du travail en divisant les tâches en tâches simple répétitive ainsi l’ouvrier répète sa tache a longueur de temps. – réduction des temps morts – l’ouvrier acquière un effet d’expérience qui va lui permettre d’aller plus vite Ex: la manufacture d’épingles. Smith, le fait de diviser le travail décuple la production d’épingles. Plus on a de travail plus la nation s’enrichie car elle produit plus, dc développement éco important. Ex: France et Angleterre , puiss au 18ème siècle).

b. Analyse en terme de classe sociale Comment augmenter les richesses produites? Les répartir? Les économistes : une divisions de la société en 2 classes : travailleurs et capitalistes (propriétaire terrien et foncier). Pour Ricardole salaire naturel fournit à l’ouvrier le moyen de subsister et de perpétuer son espèce sans augmentation et sans diminution. Si population augmente : nourrir + de bouche et travailleur aura un salaire +, or si la population baisse les salaires vont être – dc les salariés contentent de ce salaire de subsistance. Il peut évoluer et dépend du contexte social : les propriétaires terriens sont rémunérés grâce à une rente qui est effectivement la rente que procurent les travailleurs. Pour accroitre la production agricole il faut des terrains moins fertiles , mettre plus de travail, donc va couter + : la loi des rendements décroissant. L’idée : prix des denrées agricoles + donc si on + le salaire des travailleurs le profit des capitalistes – , pour baisser le salaire naturel et pour que le capitaliste augmente son profit il faut que le prix du blé baisse. C’est comme sa qu’on arrive au principe d’échange de de libéralisme. c. le libéralisme économique: Pour économistes classiquesle libéralisme éco :un état idéal et naturellement favorable à l’augmentation des richesses produites et ainsi augmenter le volume du travail. => le laisser faire : on laisse faire l’éco car les richesses augmentent naturellement. L’état :obstacle à l’éco, donc réduit a son minimum pour faciliter la circulation et les échanges . H l’autorité politique : mission d’unifier les territoires pour avoir une autorité sur routes/les voies de communication. L’Etat ne se concentre que sur les fonctions régaliennes: la police la justice l’armé: défense d’un territoire unifié. Le principe de la main invisible: tout individu qui suit sont propre intérêt œuvre directement pour l’intérêt collectif, pour la prospérité éco du pays. Jean-Baptiste Say, la surproduction est impossible, ts les produits s’échangent contre des produits. => La loi de Say(reformuler par Keynes): l’offre crée sa propre demande. La valeur de la production correspond à l’offre sur le marché . Les revenues distribués sont équivalent a la valeur de la production puisque le prix d’un bien comprend les revenus distribués aux salariés, les revenus distribués aux autres entreprises, la valeur distribuée au propriétaire de l’entreprise et voir mm une partie de la valeur versée a l’Etat. Production et revenues sont égalées. L’individu va consommer son revenue ou l’épargner. La consommation :une demande de dépense comme l’épargne car l’épargne correspond à une demande indirecte de consommation. L’investissement d’aujourd’hui sert à la consommation de demain. Il suffit de produire pour écouler les productions : L’offre crée sa propre demande. On n’étudie pas le marché. Raisonnement : ne peut pas y avoir de crises globales de surproduction. Mais si dans un secteur donné l’offre est supérieure a la demande ca veut dire qu’il y a un autre secteur économique et la demande et supérieure a l’offre donc pas de crise globale. Les mécanismes d’offre et de demande vont permettre un rééquilibrage du marche. Smith: L’Etat doit se contenter des activités utiles à la nation et délaisser le marché. Idée du libre échange. Ricardo & Smith: adeptes du libre-échange : laisser les marchandises s’échanger et passer d’une main a l’autre.

Chacun doit se spécialiser dans un domaine ou il est le plus efficace, chacun produit qqch de différent et peut s’échanger des produit .D’un point de vue international. Si chacun des pays se spécialisent dans un domaine particulier ou il a un avantage concurrentiel alors la production mondiale est supérieure que si tous les pays se spécialisent dans le même produit. Ex: GB et Portugal : le vin et les draps. . Protectionnisme: Chaque Etat se recroqueville sur eux-mêmes. Libre échange: élément essentiel du libéralisme économique.

 

B. L’analyse de Marx

1) L’exploitation de l’homme par l’homme : Révolution industrielle marquée par une augmentation de la production et par la naissance et l’augmentation de la misère causée par les crises successives du capitalisme. Face à cette misère Marx va proposer une analyse d’ensemble du système capitaliste et une analyse des crises du système capitaliste. En // Marx : penseur et homme d’action veut changer le monde et propose de renverser le système capitaliste pour aboutir au communisme et propose une étape intermédiaire: le socialisme. Marxs’appuie sur la théorie de la valeur travail et sur l’analyse en terme de classe sociale. Valeur travail:la valeur des bien correspond a la quantité de travail, aux temps de travail nécessaire pour la réalisation du bien. . Le travail mort est le travail déjà incorporé dans les moyens de production (les machines, les outils etc..) Le travail vivantest le travail mis en œuvre pendant la production, au cours du processus de production, c’est le travail humain. Ainsi le travail mort était avant un travail vivant (car l’homme construit les machines). Marx : les libéraux considèrent le travail comme une marchandise qui s’échange sur un marché. Ainsi si il y a un déséquilibre sur le marcher il ne peut pas persister, il y aura un ajustement par les prix et donc le prix de la marchandise va baisser donc le salaire va baisser. Tellement de main d’œuvre que l’offre de travail est supérieur a la demande de travail (population au chômage). Tant que l’offre de travail est sup = une baisse des salaires donc aug de la misère sociale: exploitation des uns par les autres. Exploitations des prolétaires par les bourgeois capitalistes. Ainsi comme la rémunération du travail diminue il arrive que cette rémunération soit inférieure à la force du travail apportée au produit et donc il va y avoir une différence entre la rémunération et le travail effectif apporté. Cette diff s’appelle«plus-value»qui est accaparée par le propriétaire, le capitaliste sur le dos du prolétaire. Plus value = différence entre la rémunération et le travail effectif apporté. Ccl: l’appropriation de la plus value constitue le fondement de l’exploitation des prolétaires par les capitalistes. 2) la baisse tendancielle du taux de profit. Taux de profit = Plus value / Travail mort + rémunération du travail Concurrence Chaque capitaliste achète les machines les + performantes, ils investissent dans du travail mort donc si le travail mort augmente le taux de profit diminue (selon la formule) Comme les machines neuves sont de + en + productives, le capitaliste va sur-accumuler le capital.

3) les crises du capitalisme et le passage au socialisme Les crises : issues de la baisse tendancielle du taux de profit: un double effet se conjugue: fait d’investir dans nouvlles machines et de rémunérer de – en – les prolétaires réduit à la fois les possibilités de plus-value pour le capitaliste et les possibilités de débouchés pour les entreprises. si on produit et on baisse le salaire, les prolétaires vont – consommer nos produits. Surproduction + sous consommation = crise du capitalisme, crise de la surproduction et crise de sous consommation. Surproduction de capital et sous consommation des biens. La baisse des prix = la faillite des entreprises les – performantes. Répétition des crises pour Marx : capitalisme est amené à disparaître. Le capitalisme repose sur l’exploitation. Celle ci ne repose que s’il y a propriété des moyens de production. Ainsi Marx préconise le passage de la propriété privée a la propriété collective des moyens de productions qui permettra d‘abolir l’exploitation. Le capitalisme disparait et la notion de classe sociale disparait puisqu’il ne reste que la classe des prolétaires.