La pensée économique, les grandes théories économiques (cours de sciences économiques)
Introduction:
L’économie une science?
Une science > basée sur hypothèses prouvées par des expérimentations.
Problème : science de l’homme. Les économistes > faits historiques , la science économique = science car les hypothèses servent de base à la formulation de modèles théoriques. Une théorie est faite pour être réfuter, contre-exemple : théorie fonctionne.
1. Comment définir la science économique.
A. Le domaine d’étude de la science économique.
La rareté .(ex du macbook)
Pendant longtemps l’économie = science de l’accumulation des richesses. (va être favorisée par l’Etat)
Economie : grec oikos (maison) et nomos (règle). Conduite des activités domestiques. Etymologie: Les règles de la maison. Prémices de base étudiée par Aristote.
15, 16, 17eme les économistes font élargir l’économie dans le cadre d’une nation. . Le courant de mercantilismes va soutenir cet élargissement .
Historiquement cela justifie toutes les politiques d’unification des territoires et de pacification des voies de communication. Avec l’installation d’un pouvoir d’autorité territoriale : cadre à la pacification des voies de communication pour permettre les échanges entre les différents lieux géo.
Notion de besoin : un état de manque dans lequel se trouve un individu et qui voudra satisfaire.
- Les Grands courants de la Pensée Économique
- L’euro et la Banque centrale européenne (BCE)
- Théories de l’offre et de la demande de la monnaie (Friedman, Keynes…)
- La monnaie : définition, rôle, agrégats monétaires
- Déterminants de la consommation et de l’épargne (keynes, friedman…)
- La consommation et l’épargne
- La redistribution des revenus
KEYNES 2 catégorie de besoin humain:
– caractère absolu quelque soit la situation de l’individu: les besoins primaires, besoin physiologique, liés a la vie de l’homme indépendamment des autres.(Ex: se nourrir, se vêtir.)
– caractère relatif, éprouver au contact des autres, besoin secondaire, sociaux.
Les besoins primaires peuvent atteindre un seuil mais il parait illimité. Baser sur un phénomène d’imitation ou de différentiation.
Notion de bien et de ressource : élément qui va satisfaire un besoin. Corrélation entre les biens et les besoins.
Les biens libres et les biens économiques.
Les biens libres : présent a l’état de nature, disponible en abondance (eau /air /vent).
Les biens économiques: rares pas disponibles à l’état de nature,nécessitent un sacrifice pour être produit. Si Sacrifice bien payants. On ne peut pas tous y accéder, ( budget limité )
les biens matériels (objet) et les biens immatériels (service)
Les biens de consommation: qui sert a la consommation d’un individu , après sa consommation n’existe plus. Bien consommation intermédiaires
Les biens de production: servent à la production d’autres biens.
Les besoins sont illimités. L’ensemble des biens économiques sont limités, rares. Ce phénomène de rareté va imposer des choix.
Le producteur va regarder quels sont les biens qu’il peut produire pour satisfaire les consommateurs.
Le progrès technique : l’amélioration des techniques qui vont permettre d’économiser des ressources: (choix des graines, pesticide..)
La science économique cherche à résoudre les pb d’allocations des ressources.
Quels biens je vais produire, en quelle quantité, comment je les produis, pour qui je les produit?En situation d’abondance on ne se pose pas ces questions sauf en situation de rareté .
L’économie: sciences qui étudient le comportement humain en tant que relation entre les fins et les moyens rares a usage alternatif. Lionel Robbins 1932
B. La manière dont on aborde l’économie. Les méthodes de la science économique.
L’économie dans le cadre de la rareté c’est la science des choix.
a. la place des modèles économiques.
Impacte du prix du bien sur la demande de ce bien. Le comportement d’un agent = a travers une série de modèle théorique qui se basent sur des ex hist précèdent. Hypothèses de bases qui vont permettre de définir des théories, des modèles.
Raisonnement inductif : lorsqu’on passe des fait de la réalité a des hypothèses . Raisonnement déductif: l’inverse on passe d’hypothèses aux modèles, théories
( mathématiques).
b. L’économie positive et l’économie normative
2 points de vue distincts:
– L’éco positive : expliquer la réalité ,étudier le monde tel qu’il est. (science)
– L’éco normative :définir ce que doivent être les choses /les comportements, ce que doit être le monde. «NORMER» l’économie, obligatoirement basée par des valeurs que l’on cherche à respecter.
L’économie n’a pas pour vocation d’édicter des règles, ce sont d’autres qui font des choix. Les politiques éco misent en place par les états sont des choix politiques qui se basent sur des considérations économiques.
c. La micro-économie et la macro-économie.
Opposition entre conceptions individualistes et holistes.
La micro éco se base sur une idéologie d’individualisme. (un individu type et essaye de tirer des conclusions à partir d’un individu sur l’ensemble de l’économie). C’est la somme des individus n x ce consommateur type.
La consommation en micro est considérés comme un acte individuel on va étudier pourquoi un individu décide de consommer.
Considérer les phénomènes éco dans leur ensemble. (organisations sociales qui vont déterminer les choix individuels).
La micro étudie le comportement d’un individu qui aura le choix entre deux possibilités: travailler/ loisirs. Ex chômage .
La macro va essayer d’expliquer quels sont les phénomènes qui entrainent le chômage: des phénomènes sociaux par ex. Accent sur des phénomènes d’un point de vue global ex : crise éco, délocalisation.
D’un point de vue individuel le chef d’entreprise aura intérêt à baisser les salaires, a condition que les salariés gardent la mm productivité.
Si toutes les entreprise font ca : baisse générale des salaires mais si on baisse les salaires de l’ensemble des salariés leur demande baisse, baisse de pouvoir d’achat donc baisse de production et pas de profit. Le no bridge, passage de la micro à la macro pas possible.
2. La pensée économique: les grands courants traditionnels.
La réflexion éco 1er lieu chez les philosophes grecs.
Etude de l’économie au sens familial et au sens gestion de la cité .Aristote et Platon = science économique.Au moyen-âge la morale chrétienne a inspiré la pensée éco de l’époque. Ex: le prêt à intérêt était interdit , développement économique limité. Ont plus profité de cette évolution: c. juive. H Les banquiers sont de tradition judaïque. L’église réformée, les protestants montrent que l’enrichissement personnel était +.
16 et 17eme les mercantilistes préconisent l’abondance de métaux précieux (intervention état et développement population en nombre nécessaires)Ce courant existe du 16eme au 18eme. L’économiste Quesney, qui explique: l’économie est un circuit dans lequel il y a des flux entre différents acteurs.
18eme, 19eme émergence d’analyses théoriques
La pensée éco a cette époque va se traduire par 3 grands courant:
A. Les classiques ( avant Marx).
L’origine de l’analyse classique = période des révolutions industrielle. Objet : l’observation de l’éco en pleine transformation.
Auteurs d’accord avec la révolution, pas de critique mais un accord, une tentative d’explication des phénomènes qui sont liés à la révolution industrielle.
Révolution industrielle: passage de l’artisanat dans des petits ateliers à l’industrie, les manufactures.
Transformation du monde ag .Transition démographique, populations en expansion, bcp de bouches à nourrir :devoir améliorer la production agricole, multiples innovations techniques, invention du métier à tisser mécanique, invention de la machine à vapeur. Ces innovations technologique ont permis une orga diff et + efficace des manufactures.
Adams Smith dans recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations (1776) jette bases de l’économie et l’analyse , il soulève : le libre échange, la division du travail, principe de management, le libéralisme économique.
Jean Baptiste Say dans traité d’économie politique (1803) , défend les liens entre l’offre et la demande sous forme d’un marché.
Thomas Malthus (le malthusianisme) Essaie sur le principe de population (1803) l’idée du malthusianisme est l’analyse des populations, il fallait maitriser les flux de population pour pouvoir nourrir la population, il défend l’idée de maitrise de l’évolution de la population.
David Ricardo principes de l’économie politique et de l’impôt (1817) il a développé les thèses du libre-échangisme.
a. la théorie de la valeur travail
Smith et Ricardo distinguent la valeur d’usage d’1 bien et la valeur d’échange des biens.
La valeur d’usage d’un bien dépend de la satisfaction, utilité qu’il procure à la société.
La valeur d’échange correspond à la quantité d’autres biens que l’on peut obtenir en échange du bien produit. Les éco classiques : la valeur d’échange , correspond à la quantité de travail nécessaire à la fabrication du bien.
Pour Ricardo le travail peut être un travail direct ou un travail indirect , le travail direct la valeur apporter par l’humain et le travail indirect la valeur apporter par intermédiaire des machines utilisés pour la production. Les biens de production crées grâce au travail direct. Plus il y a de travailleur plus la production est élevée.
Pour Smith, produire mieux, augmenter la productivité du travail en divisant les tâches en tâches simple répétitive ainsi l’ouvrier répète sa tache a longueur de temps.
– réduction des temps morts – l’ouvrier acquière un effet d’expérience qui va lui permettre d’aller plus vite
Ex: la manufacture d’épingles. Smith, le fait de diviser le travail décuple la production d’épingles. Plus on a de travail plus la nation s’enrichie car elle produit plus, dc développement éco important. Ex: France et Angleterre , puiss au 18ème siècle).
b. Analyse en terme de classe sociale
Comment augmenter les richesses produites? Les répartir?
Les économistes : une divisions de la société en 2 classes : travailleurs et capitalistes (propriétaire terrien et foncier).
Pour Ricardo le salaire naturel fournit à l’ouvrier le moyen de subsister et de perpétuer son espèce sans augmentation et sans diminution.
Si population augmente : nourrir + de bouche et travailleur aura un salaire +, or si la population baisse les salaires vont être – dc les salariés contentent de ce salaire de subsistance. Il peut évoluer et dépend du contexte social : les propriétaires terriens sont rémunérés grâce à une rente qui est effectivement la rente que procurent les travailleurs.
Pour accroitre la production agricole il faut des terrains moins fertiles , mettre plus de travail, donc va couter + : la loi des rendements décroissant.
L’idée : prix des denrées agricoles + donc si on + le salaire des travailleurs le profit des capitalistes – , pour baisser le salaire naturel et pour que le capitaliste augmente son profit il faut que le prix du blé baisse. C’est comme sa qu’on arrive au principe d’échange de de libéralisme.
c. le libéralisme économique:
Pour économistes classiques le libéralisme éco :un état idéal et naturellement favorable à l’augmentation des richesses produites et ainsi augmenter le volume du travail.
=> le laisser faire : on laisse faire l’éco car les richesses augmentent naturellement.
L’état :obstacle à l’éco, donc réduit a son minimum pour faciliter la circulation et les échanges . H l’autorité politique : mission d’unifier les territoires pour avoir une autorité sur routes/les voies de communication. L’Etat ne se concentre que sur les fonctions régaliennes: la police la justice l’armé: défense d’un territoire unifié.
Le principe de la main invisible: tout individu qui suit sont propre intérêt œuvre directement pour l’intérêt collectif, pour la prospérité éco du pays.
Jean-Baptiste Say, la surproduction est impossible, ts les produits s’échangent contre des produits.
=> La loi de Say (reformuler par Keynes): l’offre crée sa propre demande.
La valeur de la production correspond à l’offre sur le marché .
Les revenues distribués sont équivalent a la valeur de la production puisque le prix d’un bien comprend les revenus distribués aux salariés, les revenus distribués aux autres entreprises, la valeur distribuée au propriétaire de l’entreprise et voir mm une partie de la valeur versée a l’Etat. Production et revenues sont égalées.
L’individu va consommer son revenue ou l’épargner. La consommation : une demande de dépense comme l’épargne car l’épargne correspond à une demande indirecte de consommation. L’investissement d’aujourd’hui sert à la consommation de demain.
Il suffit de produire pour écouler les productions : L’offre crée sa propre demande. On n’étudie pas le marché. Raisonnement : ne peut pas y avoir de crises globales de surproduction. Mais si dans un secteur donné l’offre est supérieure a la demande ca veut dire qu’il y a un autre secteur économique et la demande et supérieure a l’offre donc pas de crise globale. Les mécanismes d’offre et de demande vont permettre un rééquilibrage du marche.
Smith : L’Etat doit se contenter des activités utiles à la nation et délaisser le marché. Idée du libre échange.
Ricardo & Smith: adeptes du libre-échange : laisser les marchandises s’échanger et passer d’une main a l’autre.
Chacun doit se spécialiser dans un domaine ou il est le plus efficace, chacun produit qqch de différent et peut s’échanger des produit .D’un point de vue international. Si chacun des pays se spécialisent dans un domaine particulier ou il a un avantage concurrentiel alors la production mondiale est supérieure que si tous les pays se spécialisent dans le même produit.
Ex: GB et Portugal : le vin et les draps.
.
Protectionnisme: Chaque Etat se recroqueville sur eux-mêmes.
Libre échange: élément essentiel du libéralisme économique.
B. L’analyse de Marx
1) L’exploitation de l’homme par l’homme
: Révolution industrielle marquée par une augmentation de la production et par la naissance et l’augmentation de la misère causée par les crises successives du capitalisme. Face à cette misère Marx va proposer une analyse d’ensemble du système capitaliste et une analyse des crises du système capitaliste. En // Marx : penseur et homme d’action veut changer le monde et propose de renverser le système capitaliste pour aboutir au communisme et propose une étape intermédiaire: le socialisme.
Marx s’appuie sur la théorie de la valeur travail et sur l’analyse en terme de classe sociale.
Valeur travail: la valeur des bien correspond a la quantité de travail, aux temps de travail nécessaire pour la réalisation du bien. .
Le travail mort est le travail déjà incorporé dans les moyens de production (les machines, les outils etc..)
Le travail vivant est le travail mis en œuvre pendant la production, au cours du processus de production, c’est le travail humain.
Ainsi le travail mort était avant un travail vivant (car l’homme construit les machines).
Marx : les libéraux considèrent le travail comme une marchandise qui s’échange sur un marché. Ainsi si il y a un déséquilibre sur le marcher il ne peut pas persister, il y aura un ajustement par les prix et donc le prix de la marchandise va baisser donc le salaire va baisser.
Tellement de main d’œuvre que l’offre de travail est supérieur a la demande de travail (population au chômage). Tant que l’offre de travail est sup = une baisse des salaires donc aug de la misère sociale: exploitation des uns par les autres. Exploitations des prolétaires par les bourgeois capitalistes.
Ainsi comme la rémunération du travail diminue il arrive que cette rémunération soit inférieure à la force du travail apportée au produit et donc il va y avoir une différence entre la rémunération et le travail effectif apporté.
Cette diff s’appelle «plus-value» qui est accaparée par le propriétaire, le capitaliste sur le dos du prolétaire. Plus value = différence entre la rémunération et le travail effectif apporté.
Ccl: l’appropriation de la plus value constitue le fondement de l’exploitation des prolétaires par les capitalistes.
2) la baisse tendancielle du taux de profit.
Taux de profit = Plus value / Travail mort + rémunération du travail
Concurrence Chaque capitaliste achète les machines les + performantes, ils investissent dans du travail mort donc si le travail mort augmente le taux de profit diminue (selon la formule)
Comme les machines neuves sont de + en + productives, le capitaliste va sur-accumuler le capital.
3) les crises du capitalisme et le passage au socialisme
Les crises : issues de la baisse tendancielle du taux de profit: un double effet se conjugue: fait d’investir dans nouvlles machines et de rémunérer de – en – les prolétaires réduit à la fois les possibilités de plus-value pour le capitaliste et les possibilités de débouchés pour les entreprises.
si on produit et on baisse le salaire, les prolétaires vont – consommer nos produits. Surproduction + sous consommation = crise du capitalisme, crise de la surproduction et crise de sous consommation.
Surproduction de capital et sous consommation des biens.
La baisse des prix = la faillite des entreprises les – performantes.
Répétition des crises pour Marx : capitalisme est amené à disparaître.
Le capitalisme repose sur l’exploitation. Celle ci ne repose que s’il y a propriété des moyens de production. Ainsi Marx préconise le passage de la propriété privée a la propriété collective des moyens de productions qui permettra d‘abolir l’exploitation. Le capitalisme disparait et la notion de classe sociale disparait puisqu’il ne reste que la classe des prolétaires.
C. Les néo-classiques
La théorie néo-classique= une rupture avec théories économique d’avant.
Avec l’arrivé des néo-classiques la science éco devient la science de la rareté. Ils laissent la valeur travail et utilise la valeur utilité et ont une approche micro-économique qui aboutie à l’étude de l’équilibre sur le marché. point commun : libéralisme économique.
1) Valeur utilité
La valeur utilité psk la théorie de la valeur travail : insuffisante et n’expliquait pas a elle seule les problèmes économique. Les économistes néo-classique se focalisent sur la valeur utilité. Ce qui fait la valeur d’un bien ce n’est pas la quantité de travail nécessaire à la fabrication de ce bien mais la valeur d’un bien c’est l’utilité que ce bien procure à celui qui le consomme. La valeur d’un bien résulte de la dernière unité de bien consommé. On distingue l’utilité totale et l’utilité marginale.? L’utilité marginale est une loi fondamentale en économie, énoncée et redécouverte lors de la révolution marginaliste initiée presque simultanément par Carl Menger, William Stanley Jevons et Léon Walras. Cette redécouverte est une réponse, en quelque sorte, à l’obstacle rencontré par les économistes classiques : le paradoxe de la valeur. « Comment est-ce qu’une pierre précieuse vaut plus qu’un morceau de pain, qu’un bon vêtement, et peut-être qu’une habitation saine et agréable ? »
La théorie de l’utilité marginale est l’idée selon laquelle la valeur des biens de consommation est proportionnelle à leur utilité marginale, l’idée d’après laquelle la valeur dépend de l’utilité des services escomptés. L’expression d’« utilité marginale » [Grenznutzen] a été introduite par Friedrich von Wieser (1851-1926) dans Ueber den Ursprung und die Hauptgesetze des wirtschaftlichen Werts, Wien, 1884. Puis elle a été reprise par Eugen von Böhm-Bawerk en 1886.
La valeur d’un bien dans la notion d’utilité marginal, devient subjective, cela dépend de l’individu, alors même que la valeur travail se voulait une valeur objective.
2) L’approche micro-économique.
L’Individualisme méthodologique: fait de choisir un individu qui a un comportement type et on va étudier son comportement. On part du principe que pour étudier les phénomènes au niveau global, on fait la somme de ces comportements types.
Deux types d’acteurs dans l’économie : consommateurs / producteurs
Le consommateur va chercher à maximiser son utilité en prenant en compte la contrainte de son budget. Comportement rationnel.
Le producteur un comportement rationnel de maximisation de son profit sous la contrainte des coups de production.
Les deux ont un raisonnement marginal. Cad que ces maximisations sont des maximisations marginales.
Ex : un producteur va embaucher de la main d’œuvre tant que cette main d’œuvre lui rapporte plus que ce qu’elle lui coute. Le consommateur va consommer tant que l’utilité de la consommation de son produit est supérieur à la désutilité de la conso de son produit => raisonnement marginaliste, on va ne pas raisonner globalement mais a la marge.
Cette utilité marginale est décroissante et la production marginale est aussi décroissante.
Les néo-classiques considèrent que les lois des rendements décroissants s’applique lorsqu’il concerne l’industrie, cad le producteur. La dernière unité produite est celle qui apporte le moins de profit supplémentaire.
Les néo-classique ne raisonnent pas en terme de classe sociale.
Pour eux on se retrouve à la fois consommateurs et producteurs et on se rencontre sur le marché.
3) la théorie de l’équilibre.
Sur le marché il y a une offre et une demande. Les néo-classiques soulignent la présence de 3types de marché:
– Le marché des bien et services
– Le marché du travail
– Le marché des capitaux.
En terme d’équilibre on peut avoir deux visions:
– un équilibre partiel (A. Marshall): se focalise sur un marché donné. Sur un marché présence de consommateur et de producteur dc offre et demande. Les consommateurs vont acheter et consommer . Les producteurs vont offrir leurs produits.
D’un point de vue du consommateur, la courbe de demande est une fonction décroissante : car pour un prix donné les quantités demandées par un consommateur sont faibles mais lorsque les prix sont faibles les quantités demandées sont élevées.
Point d’intersection entre l’offre et la demande: on a un prix d‘équilibre et une quantité d’équilibre. Pour ce prix l’ensemble des offreurs sont présent sur le marché, et l’ensemble des demandeurs sont présent sur se marché. Cet équilibre est stable on ne peut pas créer un déséquilibre.
– un équilibre général (L. Walras): L’équilibre se fait sur l’ensemble des marchés de manière simultanée. s’il y a un déséquilibre sur un marché, il y a nécessairement un autre marché ou la demande est supérieure à l’offre.( issu d’une cnsq de la loi de Say.)
En théorie, tous les marchés sont en équilibre, cependant, en réalité il y a un déséquilibre sur certains marchés (KEYNES)
D. L’analyse de Keynes
J.M Keynes, la théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie (1936)
Keynes observe la crise 30’s et refuse de croire aux mécanismes autorégulateurs qui permettraient de résoudre les pb de chômage ,ne raisonne plus en terme de marché mais sous l’angle d’un circuit éco et met en relation les grandes variables éco pour montrer qu’il est possible d’avoir des crises de surproduction.
1) L’analyse macroéconomique en termes de circuit.
La loi de Say: l’offre crée sa propre demande.
Keynes: la demande constitue le point de départ du circuit économique.
Les entreprises ne connaissent pas la demande ,elles vont établir des anticipations de la demande globale. Appelées par Keynes :la demande effective
A partir de cette demande les entreprises vont produire les biens et services correspondant à cette demande effective qu’ils anticipent. les entreprises vont investir dans le système productif et embaucher.
Capital sous forme d’investissement et Travail sous forme d’emploi.
Les emplois : permettre de distribuer des revenus / les revenus : a la source de la demande future, mm chose pour l’investissement.
Mais la demande effective n’est pas égale à la demande réel, donc il y a des erreurs d’anticipation. Ainsi si les entreprises sont pessimistes la demande effective sera inférieure à la demande globale donc le niveau d’emploi sera inférieur à ce qu’il aurait fallu embaucher pour avoir toute la main d’œuvre au travail. Il y a donc un équilibre de sous emploi pour Keynes, cad un équilibre dans lequel les embauche ne sont pas suffisante pour résorber le chômage, donc il y du chômage au détriment des salariés.
2) Les crises de surproduction
Keynes :les déséquilibres entre l’offre et la demande peuvent être durables car l’épargne distribuée n’est pas forcément totalement réinvestie. Keynes conteste la loi de Say et montre que l’offre peut être différente de la demande de manière durable.
La valeur de la production correspond tj au revenus versé qui seront soit consommés soit épargnés soit thésaurisés.
Thésaurisation possible car les agents veulent avoir chez eux une partie de leur monnaie qu’ils vont utiliser transaction à faire sur le cours terme. De + La consommation et l’épargne aboutissent à des dépenses à une demande de consommation inférieure à l’offre.
=> Toute l’offre n’est pas écoulée donc il peut y avoir des crises de surproduction durable en raison de la fuite sous forme de thésaurisation.
3) L’intervention nécessaire de l’Etat
Keynes conteste et met en avant le fait que la baisse des salaires ne permet pas de faire baisser le chômage. Puisque les consommateurs vont moins consommer et cela va amplifier le chômage.
Déséquilibre entre offre et demande + chômage + baisse du salaire = Il faut que l’Etat intervienne pour modifier les anticipations des entrepreneurs par un soutien de la demande.
Lorsque Roosevelt lance les grands travaux après la crise de 29: politique keynésienne.
Etat va soutenir la demande : politique de demande= politique Keynésienne.
Mais politique qui soutient l’offre= politique néo-classique.
Analyse Keynésienne: économie de la demande.
Les prolongements de l’analyse classique et néo-classique: Le monétarisme (M. Friedman) soutient une politique monétaire avec une analyse de la monnaie dans l’économie.
L’école des choix publics (J.buchanan), La NEC nouvelle école classique (J.muth).
CHAPITRE 1: LA PRODUCTION, SES FACTEURS ET LA REDISTRIBUTION DES REVENUS.
1. La production, notions de base
A. Définitions et mesures
Qu’est-ce que la production?
Produire: Acte de fabriquer des biens /services qui vont satisfaire des besoins indiv ou coll . Produire pour permettre aux consommateurs d’assouvir leurs besoins. Sont la plupart du temps solvables.
Besoin solvable: besoin qu’on va assouvir en contre partie d’un paiement. Il y a des besoins non marchand,leur fourniture seront assouvis par l’Etat comme par ex le besoin de sécurité.
Production marchande: production vendue sur un marché à un prix qui couvre au – les couts de production afin de réaliser un bénéfice.
Production non marchande: production fournie de manière gratuite ou casi au consommateur. Si on en paye une partie on va payer un prix inférieur au cout de production: ticket de RER, on ne paye pas la totalité du cout de revient du transport.
Quel indicateur?
Le PIB: produit intérieur brut, c’est une mesure de la richesse produit ds un pays.
Or ce sont les entreprises qui produisent des richesses
Le PIB = somme des richesses crées par les entreprises = somme des valeurs ajoutées des entreprises présent sur le territoires nationale (entreprises nationales ou étrangère) + la TVA + les droits de douane sur les produits importés – Les subvention pour les produits exportés.
La valeur ajoutée: Indicateur de production de richesses dans une entreprise.
Le PIB va varié, son évolution va fluctuer, pour cela il faut comparer le PIB dans le temps et dans l’espace.
Evolution du PIB = croissance de la richesse nationale, du PIB.
Cycle : l’ensemble des mouvements de l’activité économique qui sont alternés, récurant et d’amplitude et de périodicité régulière. plusieurs phases dans un cycle ,une 1ere phase d’expansion, une phase de stagnation une phase de récession et ensuite une phase de rebond, reprise économique.
La phase d’expansion = phase ascendante du cycle éco caractérisée par augmentation du volume de prod et de la demande pendant une courte période.
La stagnation = la production et la demande se tassent et c’est le début du retournement de la conjoncture économique.
Phase de récession: phase du cycle éco caractérisée par une baisse de l’activité sur une courte période.
Croissance économique: c’est l’augmentation soutenue sur une longue période de la production d’un pays.
Développement économique: transformation démographique en profondeur des structures économiques et sociales qui accompagnent la croiss éco.
Le développement éco se réfère a un aspect qualitatif et structurel des transformation alors que la croissance éco se réfère à un aspect quantitatif.
Juglar, ces cycles se répètent tout les deux ans.
Ces cycles peuvent être expliquer de différents manière:
– 1ère explication :Déséquilibre entre offre et demande : une surproduction soit une sous production, donc phase de récession.
– 2ème explication: Un déséquilibre dans le partage de la richesse de l’entreprise = une baisse des salaires donc baisse de la demande donc récession.
– 3ème explication:Des chocs exogènes liés a des fait extérieurs, ex choc pétrolier 70’s, événement du World Trade Center.
– 4ème explication: phénomènes financiers qui expliquent les crises, les crack boursier, les bulles financier etc..
Joseph Schumpeter :ce sont les innovations techno , l’apparition de nvx produits grâce aux innovations qui permettent la reprise éco et la récession est un momentou l’innovation est très limité ou inexistante.
Le PIB correspond en très grosse partie a la richesse crée dans les entreprise présente sur le territoire national.
La valeur ajoutée correspond a la valeur de la transformation, cela correspond au chiffre d’affaire auquel on retire les consommation intermédiaire.
Chiffre d’affaire: Prix X les quantités
VA = CA – CI
La TVA : taxe sur la valeur supplémentaire créer.
Augmentation du PIB : augmentation des prix soit du volume de vente, le PIB en volume neutralise l’effet des prix alors que le PIB en valeur c’est la valeur monétaire de la production. Si on est en période d’inflation on aura une augmentation du PIB en valeur, mais pas augmentation réel de l’activité.
Sortir de la guerre :croissance éco soutenue, les 30 glorieuses. Période de récession, choc pétrolier 1973. Les point en dessous de 0 =années ou on a eu – de production que l’année d’avant, croissance négative du PIB.
Les limites du PIB et le PIB Vert:
– Les activités domestique: + il y en a – il y a d’impact sur le PIB.
– L’économie sous-terraine, trafique marché noir etc.
– Externalité positive: Effet + pour l’éco mais mauvais pour la santé ou l’environnement.
Est-ce que la croissance économique va augmenter le nombre d’emplois?
Le PIB c’est un indicateur incontournable mais incomplet
B. L’évolution des secteurs de l’économie française
Avec la classification de Clark , 3 secteurs d’activités:
Le secteur primaire : activités liées a l’agriculture, a la pêche …Le secteur secondaire : activité liées a l’industrie, à la construction, activité minière. Le secteur tertiaire, secteur des services et qui renferme des activités comme le commerce le transport…
. Le secteur primaire est en chute constante, Le secteur secondaire diminue, Le secteur des service explose. – en – de production de bien en France mais de + en + de production de services. Le secteur primaire se réduit de + en + et on a une concentration de + en + forte, on a + en + de grosses exploitations agricoles.
Le progrès technique explique en partie ces mutations,besoin de – en – de main d’œuvre pr produire des biens on a une substitution du capital des machines.¨Produire un bien coute cher en France => délocalisation, lié au commerce international.
Le besoin de proximité. L’aide a la personne se développe énormément. Passage de la main d’œuvre des secteurs primaire et secondaire vers le secteur tertiaire.
Le Tertiaire a fait un bond spectaculaire et en moins de 20 ans est passé de 70% des emplois a 80% des emploie, ceci est amplifié par l’apparition des NTIC nouvelle technologies de l’information et des communications.
2. Les facteurs de production:
A. Le facteur travail
Facteur travail: facteur principale de production, le travail représente l’ensemble des activités humaine rémunérés, manuelles et intellectuels et le travail a une valeur éco.
1) Les aspect quantitatif du travail
Le travail d’un point de vue quantitatif dépend de 2 variables
Manque un peu de cours demander aux filles
B. Le facteur capital
1)Les aspects quantitatifs
La productivité du capital = Production / Capitale fixe
Capital fixe= ensemble des moyens de productions.
La productivité du capital permet de comprendre l’efficacité du capital employé pour la production.
Investissement: dépense immédiate en vue de recette future
Matériel de remplacement : renouvellement de la production
Matériel de capacité : augmenter les capacités de production, produire plus
Matériel de productivité : économiser pour produire mieux.
=> Un investissement peut regrouper ces différent aspects.
Immatériel : élément qui ne sont pas physique.
Marketing : Art de vendre
Formation : mieux former pour produire plus
R&D : l’organisation de la production à l’intérieur de l’entreprise.
C. Les autres facteurs de production
1° Les ressources naturelles
L’accès aux ressources naturelles facilite la production. Idée de Smith: les nouveaux champs cultivables sont de moins en moins productifs.
2. Le développement durable.
Les effets néfaste de la production sur l’environnement au sens globale. Le développement durable c’est la capacité à répondre aux besoins actuels sans pour autant compromettre l’avenir des générations futures. Ce n’est pas la décroissance (réduire la production) c’est une prise en compte inter génération des besoins. Cette question s’inscrit dans la démarche de production. Ex: pêche, élément qui va restreindre la production avec l’apparition de quotas indiquer par l’UE pour éviter la surproduction.
3) Les ressources immatérielles
– Accès à l’information avec internet favorise l’échange d’info et de savoir et le rapprochement des entreprises entre elles
– Développement de NTIC
D. La combinaison des facteurs de production
L’entreprise pour produire combine des facteurs de production, elle va produire de la façon la plus économe possible.
Combiner les facteurs: associer des quantités variables de facteurs de production pour produire une même quantité de biens et services. Le producteur va choisir la combinaison qui lui coute la moins chères.
Question des facteurs complémentaires et des facteurs substituables:
2 facteurs sont complémentaires , l’utilisation de l’un entraine l’utilisation de l’autre.
Ex: Une moissonneuse batteuse et 1 ouvrier, on a un seule point d’équilibre je peux augmenter ma quantité de travail, ca ne m’apportera rien de plus.facteurs substituables: on peut remplacer du travail par du capital, je remplace des hommes par des machines: Ex l’automobile
3)La redistribution des revenu : La production national va être redistribuée sous forme des revenus, cette répartition se fait en 2 temps.
A. Répartition primaire des revenues
Elle va rémunérer la contribution d’un individus pour son apport de facteurs de production à la création de richesse.
Salaire : ensemble des sommes versées aux salariés en échange de son activité rémunéré
Revenus mixte : Revenus des entrepreneurs individuels, place à part : il apporte les moyens de production et perçoit une rémunération de son activité, par un salaire mixte : ni salaire ni revenu de la propriété : c’est les 2
Revenus d’Activité : participation direct a la production
Revenus de la propriété : participation indirect à la production, dans ce cas un agent met a la disposition des autres agents ce qui constitue un patrimoine pour la production.
Revenus de 3 types : Intérêts et dividendes, Loyer et revenus des terrains si je loue une bâtiment, un terrains, Plus value lorsque je revend mon capital.
=> Les revenus primaires rémunèrent une contribution à l’activité économique, contribution soit direct soit indirect.
1) Les revenus primaires des agents
Salaire brut : c la rémunération du salarié en échange de son travail or le salarié à la fin du mois touche un salaire net pas brut car il paye un certain nombre de cotisations sociales.
Salaire net: somme monétaire que va recevoir le salarié a la fin du mois.
Des divergences de revenus entre les hommes et les femmes, mais augmentation des revenus de 2008 à 2009.
2) Les inégalités de revenus
Une première mesure des inégalités : la distributions principale des revenus (En France) l’objectif :diviser la pop des salariés Français en 10 groupes: 100% de salariés/10. Fonction de répartition de la population. Tranche de population de 10% de population, population saucissonner en 10 parties.
1ère ligne 10% des français les plus pauvres: – de 10000e /AN et la moyenne des français représente 7698 e
2ème ligne 10% des français ont entre 10 000euro et 12405 euro / an et la moyenne de revenue de ces 10% des français correspond a 13253 euro /an.
Avant le 5ème décile moitié de la population la moins aisés.
Répartition des français par tranche de revenue
Rapport inter décile : Revenue, décile + fort / Revenue, décile + faible.
La moyenne des français les plus riches ont un revenue 6,6 fois supérieur a la moyenne des français les plus pauvres
Quels sont ces inégalités et comment les mesure-t-on?
Rapport interquartile: 25% des français les plus riches par rapport au 25% des français les plus pauvres. Différence entre les quartiles.
Les Français qui gagne plus de 33 896 euro, leur revenu moyen est + élevé: 50776 euro. Il y a très peu de Français qui sont extrêmement riche mais ceux qui le sont le sont beaucoup.
Evolution du rapport inter décile concernant les revenues des ménages. Ce rapport inter décile des inégalités diminue: en 1970 les 10% des Français les plus riche avaient un revenue 4,6 fois supérieur aux 10% les plus pauvres. En 1980 on arrive a une rapport de 3,5. On a une baisse, une réduction des inégalités. 2003, 2004: augmentation de ce rapport inter décile.
Deuxième courbe :
la courbe de Lorenz: étudie la distribution des revenus, courbe n’est pas droite, tirée vers l’abscisse: il existe des inégalité, plus elle sera tiré vers des abscisse plus on aura une situation inégalitaire. Lorsque 99, 9 % ont rien et 0,01 % des français ont tous les revenus = situation la plus inégalitaire. Ici 20% des Français ont 10% des revenus. 50% des Français on 30% des revenus. En 2007 10% des français les plus riche détiennent 25% des revenus.
Pb: Pourquoi on a ces inégalité de revenus? Que faire?
Politique de laisser ces inégalité ou réduire ces inégalités, soit une politique sociale.
Lors de cette politique sociale l’Etat intervient, la répartition secondaire des revenus prend en compte le rôle de l’Etat
B. La répartition secondaire des revenus.
On étudie les inégalités de revenus, on veut 1 intervention de l’Etat pr établir une certaine équité: on va prendre aux uns pour donner aux autres. Cette répartition fait intervenir des notions importantes en terme de justice sociale et redistribution: revenus de transfert. Aspect typique de cette redistribution: La fiscalité. En fiscalité il y a certains impôts qui vont permettre une redistribution des revenus des plus riches vers les plus pauvres: impôts sur les revenus.
Déclaration des revenus de l’année on prend en compte les revenus de n-1.
Impôt sur le revenu: impôt progressif:. Les 1ers revenus vont être – taxés que les derniers. Création de tranche d’imposition auxquels on met un taux d’imposition de plus en plus élevé.
Pour ceux qui ont des revenus inférieur a 5963 euro devront payer 0 d’impôts. Ceux qui ont enter 5963 et 11896 auront 5, 5% de leur revenus a payer.
Un individus qui a déclaré 30000 euro de revenus va être imposer a hauteur de 30%, donc devra payer 9000 euro: NON seulement 30 000- 26420 seront imposés a 30%. Plus je m’élève dans la hiérarchie des revenus, plus mes revenus supplémentaire sont imposable.
On résonne sous forme de taux marginal de production c’est la marge du revenu dans la tranche qui va être imposé au taux correspondant. Il faut faire une distinction entre le taux marginal d’imposition et le taux moyen d’imposition : taux moyen est inférieur.
Un des mécanisme des redistribution c’est le mécanisme d’impôt sur le revenu.
1) Pourquoi redistribuer?
1er principe concernant une distinction entre la redistribution horizontale et redistribution vertical: Redistribution horizontale: redistribution des revenus pr maintenir les ressources des individus. Ex:malade ,ne peux travailler, plus de revenu mais allocation. Lié a la protection sociale : âge de retraite, plus de revenu mais une allocation
Redistribution verticale: cherche a réduire les inégalités dans l’échelle des revenus (entre les plus riches et les plus pauvres) Lié a la fiscalité .
2ème principe: distinction entre Egalité et équité, par J. Rawls
égalité = chacun la même chose. Une société égalitaire tend a allouer a chacun les même ressources. Que je fasse l’effort ou pas j’ai le même revenus : société égalitaire on ne valorise pas le mérite pas l’effort.
L’équité = donner les moyens a tous pr évoluer et progresser, pour s’investir. Ex: on a tous le même cour, on a tous les moyen de comprendre, base de départ identique, l’effort de chacun va faire qu’on va arriver sur une échelle de note différente, mais équité pas favoritisme.
+ l’Etat redistribue + sa présence est forte. Dans 1 système libérale : réduire la place de l’Etat. Dans un système social : amplifier la place de l’Etat.
L’Etat doit être présent ,a quel stade. Les éco classique, néoclassique et enfin libéraux partent du principe que l’Etat doit être présent pour un certain nombre de fonctions dites régaliennes : ce st les fonctions qui vont permettre la paix à l’intérieur et à l’extérieur d’un territoire : La justice, la police, l’armée etc.
Pour les libéraux on a une présence infime de l’Etat.
En revanche la pensé Keynésienne l’Etat sert a a redistribuer les revenus ce qui va permettre a l’économie d’être en expansion: la consommation est un des éléments essentiels de l’expansion et de la croissance économique.
2) La fiscalité
On distingue plusieurs type d’impôts:
– Impôt direct vs impôt indirect : Un impôt direct : prélevé directement sur les contribuables, ex : impôt sur le revenus .Un impôt indirect : payé indirectement par les contribuables, ex : TVA.
– Impôt local vs impôt national, impôt national on paye pour le budget de l’Etat de la nation ,pr les collectivités locales
–Impôt progressif : qui va frapper le contribuable de façon progressive vs impôt proportionnel (flat taxe) impôt unique forfaitaire qu’on va payer qlq soit notre situation
– Impôt déclaratif : impôt a la suite d’une déclaration vs impôt a la source : impôt déduit a la source.
Ensemble des revenus dont disposent les ménages avant l’impôt : + on augmente ds les déciles + les salaires représentent 1 part importante de l’ensemble des revenus et – on a de transfert sociaux. Les gens qui sont dans le décile les plus élevés gagnent leurs vie – par le salaire que par d’autres sources.
3) Le système de protection sociale
Ce système suivant la logique d’assistance: système Beverdigien et la logique d’assurance: système Bismarckien.
Logique d’assurance: les assurances sociales, fin 19ème s sous le chancelier Bismarck guidé par une double soucis : lutter contre les syndicats et contrer la montée du socialisme. Bismarck a dissolue ces associations a mis fin aux syndicats et en contre partie l’Etat prend en charge la protection sociale qui était laissé a d’autres institutions. Ainsi les assurances sociales sont devenues obligatoires a partir de 1883.
Le système Bismarckien se base sur 4 principes fondamentaux:
– La protection est fondée sur le travail droit a la protection sociale = les travailleurs.
– La protection est obligatoire pour les salariés qui ont un salaire inférieur a une certaine limite. Tous les salariés modeste qui n’ont pas accès a une protection, une assurance privé, individuelle
– La protection est fondée sur le principe de l’assurance, proportionnalité entre les cotisations et les salaires
– La protection sociale est gérée par les salariés et les employeurs eux-mêmes.
La logique Beveridgien: 2 modèle d’assistance en 1942 lors du rapport de Lord Beveridge en Angleterre. 4 principes :
– La protection sociale est universelle: elle couvre toute la population et tous les risques
– Les prestations sont uniformes, cad forfaitaires, tout le monde a le droit au même montant. notion de besoins humains et non sur les revenus
– Le financement passe par l’impôt et non plus par des cotisations sociales.
– C’est l’Etat qui gère l’ensemble de la protection sociale.
CCL Le système assurantiel se distingue de l’assistance ainsi ds 1 logique d’assurance la protection sociale est accordée en contre partie d’une activité professionnel.
Dans la logique d’assistance que je cotise ou pas j’ai un montant spécifique donné, ex: La CMU couverture maladie universelle, le RMI appelé RSA, on va donner un revenu minimum a tous ceux qui n’ont pas de revenu. Le minimum vieillesse, on va donner a un retraité le montant minimum pour vivre a partir de 65.
=> Syst Fr est un système MIXTE. En France on a une logique mixte.
En France la sécurité sociale cad la protection sociale, c’est le système assurantiel qui couvre 4 branches:
– Le risque vieillesse: on cotise ojd pour les retraité d’ojd dc les jeunes de demain vont cotiser pour nous. La retraite par répartition, on va répartir la retraite de manière intergénérationnel vs retraite par capitalisation: les actifs d’aujourd’hui mettent de l’argent pour demain en
– Les prestations familiales : le risque famille, la France a une politique familiale active, Plus j’ai d’enfants a charge moins je paierai d’impôt. Aide: allocations familiales… Et cela je le paye sur ma fiche de paye.
– Les prestations chômage, risque de perdre son emploi, allocations qui va couvrir en parti ma perte de salaire.
– Les prestations santé: la branche santé est l’une des branche les plus déficitaire en France.
– Débats sur la dépendance , parent grand parents enfant petits enfants.
Ccl: on arrive aux revenus disponible des ménages qui correspond au revenu primaire (lié a l’activité) auquel on enlève les impôts et les cotisations sociales + les prestations sociales (revenus secondaires ou de transferts).
Qu’est-ce qu’on va faire des revenus disponible des ménages: Consommer ou épargner.
Le revenus disponibles des ménages c’est le revenus dont dispose réellement les ménages pour consommer ou épargner.
Chapitre 2: La consommation et l’épargne
La consommation et l’épargne constituent les 2 formes d’utilisations du revenu disponible a ce titre la consommation et l’épargne détermine ce que seront l’investissement et la croiss.
Consommer: La consommation correspond a la destruction par l’usage.
Epargner = économiser.
Niveaux d’épargne et niveaux de consommation sont liés
On étudie la conso et l’épargne parce que c’est la base qui va nous permettre de comprendre ce qu’on fait de notre revenus.
1. Le revenu, la consommation et l’épargne
Le pouvoir d’achat c’est ce que je peut acheter avec mon revenu que je touche.
Graphique: on peut remarquer que le pouvoir d’achat augmente aux alentours de 1 a 2% par an. En Moyenne les Français épargnent 15 à 20% de leurs revenu.
A. La consommation
En France quel est le montant de la consommation des ménages: Les ménages fr ont dépensé 41 milliard d’euros en dépenses de conso en Sept 2011.Il y a différents poste: l’alimentaire 14 milliards, les biens manufacturés etc.Les variations mensuel de la consommation…
80% des produit manufacturés qui ont une valeur de – de 20 euros sont fabriqués en Chine.
1) définitions et forme de la consommation
Etymologie:Consommer c’est «consumare» en latin: faire la somme, achever, consommer
Au sens littéral: la consommation c’est l’achèvement, accomplissement, réalisation (consommation d’un sacrifice, d’un mariage)
Au sens éco la consommation c’est la destruction + ou – rapide par l’usage d’1 bien.
On va consommer parce qu’on a des besoins, a chaque besoin va correspondre un produit.
L’acte de consommation est un acte individuel. On va consommer des biens, des services. Il faux produire ces biens et services et pour que l’entrepreneur produisent le bien il faut savoir si on consomme = le bien est produit c’est pourquoi je consomme ou je consomme le bien donc on va le produire.
J.B Say: loi des débouchés: Entrepreneur, il suffit qu’on produisent pour écouler nos produits.Keynes : Il faut montrer qu’on veut de la consommation.
Les formes de la consommation
La consommation marchande concerne l’achat de bien et services sur le marché. Pour avoir un conso marchande il faut avoir un prix un échange un achat.
Un service c’est un bien immatériel, ces services peuvent être collectifs ou individuels
Service publique: qu’on bénéficient gratuitement ou presque mais qu’on paye via les impôts.
Autoconsommation:la production de bien ou service pour soi même pour sa famille ou pour un groupe restreint: Ex babysitting pour sa sœur.
2) La structure de consommation des ménages
Il s’agit ici de la Consommation finale des ménages et pas de la consommation intermédiaire.
Consommation intermédiaire: c‘est la consommation des entreprises, les entreprises vont consommer des biens et services pr pouvoir créer d’autres services et biens.
La structure de consommation des ménages représente la décomposition de la consommation en différent poste budgétaire. Ex: le poste habillement, l’alimentation , les loisirs etc..
Cette structure a évolué au cours du temps, afin de comprendre l’importance d’un poste budgétaire on calcule les coefficients budgétaire.
Le coefficient budgétaire est le rapport entre le montant d’un poste budgétaire et le totale de la consommation des ménages. Ex: Tableau structure de consommation des ménages.
Les prod alimentaires, l’alimentation ainsi que les boissons nn alcoolisé représente 15, 5% de la dépense des ménages. Le logement représente 16,2% de la conso des ménages.
Notion d’élasticité: mesure les variations qui existe d’une variable qui impact une autre. Elasticité prix: variations de la demande d’un bien issu d’une variation du prix de ce bien.
Ed /p = variation de demande / variation du prix. Ed/p = ∆D/D/ ∆P/P
Elasticité = -2 lorsque le prix du bien augmente de 1% la demande de ce bien baisse de 2%. Lorsque le prix d’un bien augmente la demande de ce bien diminué: élasticité négative.
Elasticité revenue: variation de la demande d’un bien issue de la variation du revenue du consommateur. E d/r = variation de la demande / variation du revenu. E d/r = ∆D/D/ ∆R/R
Ex: élasticité égale à 3, lorsque le revenu augmente de 1% la demande augmente de 3%
Elasticité prix croisé: variation de la demande d’un bien issue de la variation du prix d’un autre bien; Edx/py = ∆Dx/Dx / ∆Py/Py
Exemple: le prix de la poire diminue on achète plus de poire mais moins de pommes.
Les lois d’Engel (1857):Economiste Engel en 1857 fait une étude sur les habitudes de consommation des ménage et en sort des lois de classification des prix. Il s’intéresse a la variation de la demande issue de la variation du revenue, classification en 3 phases:
· Les biens inférieurs: e d/r < 0 la demande du bien diminue lorsque le revenu augmente ( ex, le pain , la pomme de terre)
· Les biens normaux: 0 < e d/r < 1 , il s’agit de biens dont la demande augmente lorsque le revenue augmente mais moins que proportionnellement. ( ex: nourriture, biens de première nécessité)
· Les biens supérieurs: e d/r > 1 (ex:loisirs, culture, santé)
Limite de cette problématique: ou placer tel ou tel produit.
Pour l’élasticité prix, lorsque le prix d’un bien baisse je vais consommer plus de ce bien la et inversement.
Les biens Giffen: L’économiste Giffen vers la fin du XIXème a montré qu’il existe un phénomène: lorsque le prix d’un bien augmente la demande du bien en question augmente. Giffen met en avant que pr 1 catégorie de pop, lrsq les prix aug ils ne peuvent + se permettre d’acheter des produits trop chèrs pour eux, dc ils ne vont + les acheter pour acheter les produits de 1ere nécessité: les pop pauvres ne peuvent pas acheter des produits alimentaire onéreux dc ils se nourrissent de pomme de terre et pain. Dc lorsque le prix de la pomme de terre augmenter il vont consommer + de pomme de terre car il ne peuvent pas acheter autre chose.
B. L’épargne
Taux d’épargne en France est relativement élevé comparé aux autres pays, il est stabilisé autour des 15 a 17%: augmentation ds les années 70, forte diminution années 80 et re stabilisation depuis la fin du 20ème siècle.
Epargner: peur du lendemain. Ce taux d’épargne se divise en 2 variables, l’épargne financière et l’épargne sous forme de logement.
Au début des années 90 épargne exclusivement dans les logements = bulle et crack immobilier.
1) Définition et forme de l’épargne
Quesque c’est que l’épargne? est ce que j’épargne pour consommer demain ? ou parce que je ne sais pas quoi faire d’une partie de mon revenu qui me sert a rien. Deux visions qui étudie pourquoi est ce qu’on épargne.
Epargne : faire des économies mettre en réserve au sens courant.
Au sens économique c’est la partie du revenu qui n’est pas consacré a la consommation.
L’épargne d’aujourd’hui ne fait pas plaisir au consommateur. L’épargne c’est un sacrifice. Mais renoncer a 1 consommation immédiate permet au consommateur de consommer dans l’avenir. L’individu veut jouir de son revenu ojd et nn pas demain sauf que utiliser l’ensemble de sn revenu ojd ce qui ramène a un taux d’épargne nul, ne permet pas d’investir pour demain.
2) la structure de l’épargne
La valeur du patrimoine des français correspond a environ 9000 milliard d’euros, patrimoine divisé en deux forme: en actifs non financières (ensemble des investissement dans le logement) et actifs financières. On a la distinction suivante: 6700 milliard de patrimoine non financier et 2500 milliard de patrimoine financier. En grosse majorité, les français détiennent leurs patrimoine sous forme de logement => investissement dans la pierre.
Consommateur a une préférence pour le présent, pour le consommateur l’épargne constitue une désutilité, il va si on suit le résonnement donc consommer la totalité de son revenue. Or l’épargne constitue l’investissement de demain => contradiction mis en valeur pas J.B Say qui distingue la consommation « improductive » et la consommation « reproductive ».
Pour lui la consommation «improductive» c’est la consommation qui va entrainer une satisfaction immédiate, cela peut s’assimiler a du gâchis pour Say, on va profiter du temps présent sans penser a demain.
La consommation « reproductive » permet la reproduction d’1 bien et dc une consommation différéE. Cette consommation permet de souligner l’habilité de chacun dans la production de bien futur. L’investissement d’aujourd’hui va permettre de créer des produits pour demain.
II. Les déterminants de la consommation et de l’épargne
Suivant l’optique qu’on adopte on va considérer la consommation et l’épargne l’un comme centrale et l’autre comme résidu.
A. Les déterminants traditionnels
Analyses à court terme. Qu’est ce qui fait que je vais épargner aujourd’hui pour épargner demain?
· Influence du taux d’intérêt
· Choix entre consommation-épargne ou entre épargne-consommation
1) L’analyse néo-classique
Le consommateur dispose d’un revenu et il va faire des choix de consommation d’ojd et pr demain. Un consommateur qui vit sur 2 j sait qu’il va recevoir 100e aujourd’hui et 100e demain => préfère-t-il consommer 100é aujourd’hui et 100e demain ou préfère- t-il consommer moins aujourd’hui et plus demain?
Cela dépend de ses choix inter-temporels.
Les 100e d’aujourd’hui ne sont pas les mêmes que demain du fait de l’inflation. Le pouvoir d’achat diminue.
Suivant le taux d’intérêt il va placer aujourd’hui pour consommer demain.
Importance central du taux d’intérêt développé par A. Marshall dans sa théorie réelle de l’intérêt. Le taux d’intérêt va déterminer mon choix entre la consommation et l’épargne. Si le taux d’intérêt est élevé on va placer d’avantage si il est faible on va consommer aujourd’hui pour conserver le pouvoir d’achat.
L’individu a un revenu disponible qu’il consacre entre la consommation et l’épargne, ou plutôt entre l’épargne et la consommation. Epargne = consommation pour demain . Consommation d’aujourd’hui servent a consommé de produits qui répondent aux besoins des consommateurs.
1) L’individu a son revenu disponible, il va devoir choisir entre conso et épargne, il va regarder le taux d’intérêt en fonction de ce taux, il va épargner plus ou moins. Plus le taux d’intérêt est élevé plus son épargne va être élevée.
2) La partie non épargnée du revenu dispo va être consommer. La consommation chez les néo-classiques est un résidu du revenu disponible.
3) Cette consommation va être dispatchée entre diff biens, l’individu va combiner des produits pour assurer sa conso, en fonction des prix des biens il va+ ou – consommer de bien: la combinaison de produits dépendra du prix des biens.
2) L’analyse keynésienne
La loi psycho fondamentales de J.L Keynes 1936: La plupart du temps et en moyenne les hommes tendent a accroitre leur consommation avec l’accroissement de leur revenu mais – que proportionnellement. Lorsque le revenu augmente de 1 euro, l’individu augmente sa consommation d’un montant inférieur que 1 euro.
· Notion de proportion marginale a consommer.
Fonction de consommation: la consommation d’un individu correspond a la consommation incompressible autonome (Co) plus la propension marginalE à consommer (c) fois le revenu national (R): C =Co + cR
1) c= ∆C/∆R
2) 0 < c < 1 la propension maximale comprise entre 0 et 1, on ne peut consommer plus de 100% de son revenu. Plus la propension marginal a consommer est proche de 1 plus la part du revenu supplémentaire consacré à la consommation est forte. Si c = 0,9 lorsque je verse 100 euro supplémentaire a l’individu il va utilisé 90 sur ces 100 a la consommation et mécaniquement il va consacré 10/100 a l’épargne.
Remarque: propension moyenne à consommer PMC= C/R
Les populations pauvres ont un propension marginal a consommer forte et un propension marginal a épargner faible. Et inversement pour les riches.
La propension marginale a consommer correspond a la consommation supplémentaire issue d’un revenue supplémentaire.
La propension moyenne a consommer indique la part du revenue totale qui est en moyenne consacré a la consommation.
Dans l’analyse keynésienne se fond sur une approche d’analyse en terme de consommation. Donc pour lui un individus va recevoir un budget qui va consommer donc une partie de se revenue va être épargné et la partie épargné va être un résidu.
1) Le consommateur va choisir sa part du revenue qu’il va consommer il va se basé sur un indicateur qui s’appel la propension marginal a consommer , plus le consommateur est pauvre plus il va consacré une part importante a la consommer
2) La partie non consommé s’appelle l’épargne, c’est un résidu.
3) Le consommateur va choisir sa structure d’épargne en fonction du taux d’intérêt. La partie épargné du revenu est un résidu donc la propension marginal à épargné est égale a 1- c.
PmE = ∆E/∆R (= 1-c)
Les néo classique et les keynésien se basent sur les mêmes indicateurs pour dire des choses différentes
Le raisonnement de l’un est l’inverse du raisonnement de l’autre. Pour les classique la consommation est un choix inter temporel alors que chez les keynésien l’épargne est un résidu.
Keynes part du principe qu’à court terme la proportion marginale a consommer est stable. Le taux d’intérêt interviens dans les 2 approche mais de manière différents, pour les néoclassique le taux d’intérêts permet de choisir entre consommation et épargne, et pour les keynésien choix entre épargne financière et non financière. Pour Keynes la consommation est une fonction croissante du revenue.
B. Les autres déterminants
=> Etude après les deux approches précédentes : reformulation des 2théories précédentes
=> Multitude de modèles : il y a des facteurs divers et varié qui entre dans la définition de la consommation.
1) L’effet de démonstration et théorie du revenu relatif.
Une des hypothèse centrale des approches précédentes était de dire que la consommation d’un individu n’était pas influée par la consommation d’un autre individu.
J. Duisenberry (1949) La consommation des agents a un impact sur la consommation des autres agents => Dimension sociale des comportements de consommation des ménages.
Ainsi les individus cherche une niveau de vie de plus en plus élevé et vont consommer des biens et des services pas que pour leur utilité mais aussi pour faire un signe a la catégorie sociale a laquelle on veut correspondre
Pour Duisenberry les consommateurs d’un groupe social vont essayer d’imiter les même comportement de consommation d’un groupe sociale avec des revenus immédiatement supérieur. Ainsi la propension marginal a consommé va être supérieur.
· effet d’imitation ou effet de démonstration.
Comme ce phénomène joue sur toutes les classes sociales, ce phénomène d’imitation va entrainer une augmentation de la consommation.Prépondérance occupé dans la hiérarchie des revenus.
2) La théorie du revenu permanent: Friedman 1957.
Chef de file d’un courant qu’on appel les monétariste qui conteste la validité des conclusions de Keynes, conteste le modèle de Keynes puisque selon lui la consommation d’un période donné ne dépend pas uniquement des revenus de cette période mais de l’ensemble des revenus anticipé. Ainsi la consommation d’aujourd’hui ne dépend pas uniquement des revenus d’aujourd’hui, elle dépend des revenus permanent et des revenus transitoire.
· Revenu courant = revenu permanent + revenu transitoire.
Part connue : revenu permanant, part inconnu : revenu transitoire. Pour Friedman la consommation dépend du revenu permanant. Ainsi la consommation dépend du revenu permanant (moyenne des revenus anticiper qu’on va obtenir) et non du revenu courant. Pour Friedman c’est cette élément qui va permettre de justifier la stabilité de la consommation.
3) La théorie du cycle de vie F. Modigliani (1954)
Répartition du revenu et du patrimoine durant le cycle de vie
Modigliani analyse le comportement de consommation et d’épargne d’un consommateur durant toute sa vie. Il appel cela la théorie du cycle de vie.
=> chercher schéma sur internet.
1er principe: l’individu désire avoir une conso stable et progressive ds le temps, ce comportement est constant, n’est pas influencé par des variables extérieur. Les consommateur st patient et près a attendre pour avoir une consommation demain.
Le revenu des agents varie en fonction de leur stade dans leur vie. Dans leur jeunesse les individus ont pas ou peu de revenus, dans la vie active leur revenu augmentent et se stabilise et dans leurs phase de retraite les revenus diminues. Durant toute sa vie l’individu veut former un patrimoine grâce à l’épargne pour se constituer un patrimoine.
On a trois étapes de la vie d’un individu: au début de sa vie le consommateur n’a pas assez de revenu pour satisfaire sa consommation, il va donc emprunter ce qui va lui permettre de consommer plus que son revenu.
Dans la deuxième phase l’individu a assez de revenu pour consommer, rembourser son emprunt et épargné pour l’avenir. Dans cette phase le patrimoine augmente progressivement afin de préparer la retraite.
Enfin dans la 3ème phase de la retraite, les revenus diminues, or l’individu veut maintenir son niveau de consommation et il va donc puiser dans son patrimoine et il va désépargner et il va consommer plus que ce que permet son revenu courant.
Ce modèle permet de mettre en perspective le temps dans l’analyse de la consommation et de l’épargne. Cependant il y a plusieurs inconvénient. Le patrimoine à la mort est nul, l’objectif dans la vie de l’individu est d’épargner puis consommer toute son épargne.
Or des problèmes se posent :
– il y a des individus qui veulent laisser du patrimoine après leur mort.
– De plus on ne connait pas la date de notre mort, comment faire pour consommer tout le patrimoine avant sa mort.
– Si on prend le début de la vie, il n’y a pas d’égalité au début de la vie, on ne prend pas en compte les héritiers.
Conclusion : La consommation et l’épargne sont deux variables essentielles a la fois d’un point de vue individuel que d’un point de vue collectif, agréger. En effet pour l’aspect individuel, l’analyse de ces deux variables permettent d’expliquer l’utilisation du revenu. D’un point de vue agréger l’analyse de ces variable permet d’étudier l’investissement dans un pays et la croissance économique car un des moteurs de la croissance c’est la consommation. Il y a deux visions contradictoire de la consommation et de l’épargne ce qui entraine des choix de politique économique différent suivant l’optique adopté.
Faut-t-il favoriser la consommation ou l’épargne?
Chapitre 3: La monnaie
Les hommes ont utilisé un bien relativement rare sur terre pour avoir un étalon pour les échanges. On va utiliser du sel, des coquillage ou bien des métaux précieux comme l’or et l’argent.
Pourquoi est ce que la monnaie existe? pour pouvoir permettre les échanges en économie
Quel est le lien entre le monnaie et l’économie réel?
Est-ce que la monnaie a un impacte sur l’activité?
I. La monnaie: qu’est ce que c’est?
La monnaie a été créer pour permettre la fin de l’économie de troc. Certains auteurs pensent que la monnaie exister bien avant. L’évolution des formes de monnaie dans le temps n’est pas linéaire.
A. La monnaie: définitions et fonctions
1) Définitions
Il n’y a pas une définition de la monnaie mais plusieurs définitions de la monnaie. Ces plusieurs définition montre la difficulté importante rencontré par les auteurs pour appréhender cette notion. Il est difficile de définir de manière simple et claire ce qu’est la monnaie.
1ère approche : l’ensemble des moyen de paiement dont dispose les agents pour régler leurs transaction, approche simple (critère pas forcément négatif= contour bien défini).
Est-ce que la monnaie serait aussi simple qu’on se limiterai au transaction ?
Non. 2ème approche : «bien d’échange généralement accepté par une communauté de paiement » R.Barre, 1er économiste de France. Notion de communauté dans cette définition : l’idée d’un espace géographique. Ceci met en perspective cette zone monétaire et la modernité de cette notion avec la convergence vers une monnaie unique : l’euro.
La monnaie va nous servir a un échange sur une zone géographique donné.
3ème approche «la monnaie est comme un langage: le francais que je parle n’est utile que dans la mesure où vous en faites autant; de même que j’accepte la monnaie dans là mesure où vous l’acceptez également» C. Ottavi
La notion qui apparait est la notion de confiance: j’ai confiance en quelque chose donc je vais l’accepter.
La monnaie est apparue très tôt et a eu des évolutions dans le temps, globalement la monnaie va servir a 3 fonctions principales :
2) les Fonctions
Si la monnaie joue un rôle spécifique dans l’économie c’est parce qu’elle remplie des fonctions différentes des autres biens. Ce rôle peut être traduit par 3 fonctions :
– Intermédiaire des échanges: au fur et a mesure qu’une écono se développe, qui passe d’une éco local à un territoire plus grand, les transactions vont se multiplier parce que chacun des agents va se spécialiser dans un domaine bien définit. Plus on se développe plus ont va avoir de transaction et moins ces transactions vont pouvoir se baser sur le troc.
Un bien A désire un bien B vendu par l’agent B’ il faut pour que l’échange se réalise il faut que l’agent A’ désire le bien B et que l’agent B’ désire le bien A + il va falloir trouver la quantité de bien A pour pouvoir l’échanger contre un bien B.
Pb : il y a des denrées périssable. Don la monnaie permet de faire l’échange entre le bien A et le bien B. On se met d’accord parce que la monnaie est une unité de compte
– Unité des compte : unité qui va nous permettre d’avoir un étalon commun. Il me faut 132 cannete de coca contre un Ordi : prix relatif. Dans une économie de troc, le nombre de prix relatif que je vais devoir avoir pour avoir le prix des bien n – (n – 1) / 2.
Ex : 100 biens, il va falloir avoir 4950 prix relatifs différents. Si on compare a une économie ou il y a de la monnaie : unité de compte. Dans ce cas, il va me falloir n – 1 prix ( n le nombre de bien dans l’économie).
Ex : 100, biens, il me faut que 99 prix en fonction de mon unité de compte : la monnaie.
– Reserve de valeur : je sais que la monnaie que j’ai aujourd’hui représente un pouvoir d’achat répartie dans le temps. Un agent va faire des choix inter temporel grâce a la monnaie, on va mettre de l’argent de coté pour consommer demain. Choix inter temporel des agents. Un agent va se constituer un patrimoine grâce a la monnaie pour consommer demain. (ordinateur pas réserve de valeur parce que dans 10 il vaux plus que 50 euro).
=> Monnaie comme un actif qui va nous permettre d’avoir un impacte sur les mécanismes économiques futures.
B. Les formes de la monnaie.
1) L’évolution des formes de monnaie.
– La monnaie marchandise : l’homme a inventé une monnaie sous forme de marchandise. Instrument de paiement dans lequel on croit et dans lequel on a confiance. Ex : des coquillages, du sel, animaux.
Puis il a fallu trouver un matériel stable, rare et qui aller duré dans le temps
– La monnaie métallique : Les pièces qui sont produites grâce à un métal rare comme l’or, l’argent , le bronze. Quelle est la valeur de cette monnaie métallique. La pièce d’or vaut la valeur de l’or, la monnaie métallique vaut la valeur du métal. La monnaie en circulation est égale à la quantité de métal présente sur terre et qu’on utilise donc comment augmenter la valeur de la monnaie ?
– La monnaie divisionnaire : représente l’ensemble des pièces dont la valeur est indépendante du métal en question. On a utilisé l’or et l’argent dans un premier temps, sur lesquels on a frapper des valeurs faciales. La valeur du métal était supérieur au franc en question. La monnaie divisionnaire a été frappé dans un métal dont la valeur est inférieur à la valeur faciale.
– La monnaie papier : On s’est rendue compte que lorsqu’on voulait avoir des échanges qu’un marchant devait trainer l’équivalent des pièces d’or qui lui fallait échanger ces pièces d’or contre le bien qu’il allait acheter. Dans les voies de communication de l’Europe dans les 15, 16ème 17ème il y avait des bandits. Les vénitiens on décider de récupérer les pièces d’or du marchand et vont lui remettre un billet avec le montant des pièces d’or. Il va faire son voyage avec se billet et remettre se billet à un autre vénitien en collaboration avec le premier qui va lui donner le nombre de pièce d’or écrit mais ce marchand va prendre un commission => naissance de la banque.
Le billet au départ représenter la quantité d’or déposer à la banque et ce billet avait pour valeur la quantité d’or déposer. Ces billets était limité car l’or était limité. Au fur et a mesure on a proposé des billets dont la valeur va être déconnecter de la quantité d’or déposer. On va donc faire confiance à un bout de papier qui ne vaut rien de manière intrinsèque :
– La monnaie fiduciaire ( du latin fiducia, confiance) elle rassemble l’ensemble des billets et des pièces = monnaie papier + monnaie divisionnaire.
– La monnaie scripturale : monnaie qui vient de l’écriture : l’ensemble des comptes à la banque.
Aujourd’hui on utilise 3 formes de monnaie: la monnaie scripturale et la monnaie fiduciaire ( monnaie papier et monnaie divisionnaire).
Evolution des formes de monnaie étudier par Jean. ? :
En 1789 la quasi totalité de la monnaie utilisé sont des pièces : 96%, 4% de billets.
1992 : 1% de pièces 15% de billet et 84% de monnaie scripturale
Aujourd’hui ont utilise de moins en moins les espèces. Utilisation du monnéo permet de diminuer l’utilisation des pièces.
Quels est le volume de monnaie en circulation ?
2) Les agrégats monétaires
La masse monétaire : c’est l’ensemble de la monnaie en circulation à un moment donné. Cette masse monétaire a de multiple composante. Dans la masse monétaire on retrouve les pièces qu’on a dans la poche et le montant du PEL qu’on a souscrit, l’assurance vie qu’on a souscrit. Quels est le lien entre l’utilisation de la monnaie ds la poche et l’utilisation de notre épargne ?
La masse monétaire est composé de différent agrégats monétaire qui sont des indicateurs qui vont regrouper des moyens de paiement dans des sous ensemble homogène : les agrégats monétaires sont des indicateurs statistiques regroupant dans des ensembles homogènes les moyens de paiement détenus par les agents d’un territoire donnée.
La notion de liquidité : par définition la monnaie est l’actif le plus liquide qu’il existe. C’est-à-dire qu’elle peut être utilisé instantanément pour acheter d’autres produits.
Est-ce que je peux débloquer l’argent que j’ai dans mon assurance vie du jour au lendemain ? non , délais + contraintes. Donc les autres actifs monétaire appeler quasi monnaie vont avoir une faculté plus ou moins grande pour se transformer en monnaie, plus cette faculté est forte, plus la transformation est rapide, plus l’actif va être considéré comme liquide. Ainsi la masse monétaire est subdivisé en 3 agrégat monétaire : l’agrégat M1, M2 et M3. Chaque agrégat s’emboite l’un dans l’autre. Représentation issue de la BSE qui met en avait la masse monétaire en Octobre 2009
Basse monétaire c’est l’ensemble des dettes de la banque central, l’ensemble de ce qui est due par la banque central.
L’agrégat M1 représente l’ensemble de la monnaie c’est-à-dire la monnaie féduciaire et la monnaie scripturale, l’agrégat M1 = les billets les pièces et les dépôts à vue (compte courant). En octobre 2009 l’agrégat M1 est constitué de près de 4500 milliards d’euros. L’Agrégat M1 est le plus liquide : la monnaie au sens strict du terme. A l’intérieur de l’agrégat M1 on retrouve le poids restrictif des pièces et des billets et des dépôts a vue. LA grande majorité de M1 est détenue sous forme de dépôts à vue.
Tout le reste c’est la quasi monnaie car cela concerne des actifs qui vont être transformé sous forme de monnaie de manière plus ou moins rapide. Si on prend l’agrégat M2, il comprend l’agrégat M1 + les dépôts de préavis inférieurs a 3 mois (ensemble des actifs qui vont être liquide en moins de 3 mois comme le livret jeune, le livret A, le livret d’épargne populaire + les comptes a terme inférieur à 2 ans ( comptes d’épargne sur lesquels il y a un certain montant qui sera débloquer) = 200 814 milliard d’euros. M2- M1 = 4000 milliards d’euro : tout ce qui est placé en livret a court terme représente 4000 milliards d’euros.
L’agrégat M3 englobe l’agrégat M2 + les titres de créances inférieurs à deux ans ( à court terme, l’argent investi en titre sur une durée inférieur à deux ans) = 9400 milliards d’euros.
Il est intéressant d’étudier le poids relatif de chacun des agrégats ainsi que l’évolution de ces agrégats et de leurs poids relatifs pour savoir si les individus de la zone euro préfère détenir leur monnaie sur forme monétaire ou sous forme d’épargne.
Cette analyse est d’autant plus intéressante lorsqu’on étudie la politique monétaire d’un pays ou d’une zone.
Evolution des agrégats monétaire de 97 à 2011 : évolution quasi constante de la masse monétaire. Rupture en 2008 = crises des subprimes, perte des titres
Conclusion : Anlietta et Orléan : la monnaie va permettre de mettre un point finale a la violence qui existe entre les agents. Paradoxe : la monnaie est elle-même source de violence car les agents veulent accumuler de la monnaie et ils vont appelle à la violence envers d’autres agents, ainsi la monnaie n’est pas uniquement un instrument mais représente aussi des rapports sociaux entre les uns et les autres. La monnaie va permettre d’une manière ou d’une autre d’éteindre une dette, la monnaie est un actif liquide et sans risque de perte en capitale.
II. Les théories de la monnaie
A. L’offre de monnaie
L’offre de monnaie se fait a travers la banque centrale, c’est la banque centrale qui va mettre en circulation la monnaie au sens large et particulièrement les pièces et les billets. Si ont veut bcp de billets en circulation il faut que la banque central imprime plus de billets et qu’elle les mette en circulation dans l’économie.
1) Le rôle de la banque centrale
La banque centrale d’un pays est l’institution qui est chargé de mettre en place la politique monétaire. Pour l’euro c’est la banque central européenne.
Cette banque centrale va avoir 3 rôle important :
– Elle va assurer les missions de la monnaie fiduciaire, elle a une usine qui va produire les billets et les pièces. En France la banque de France à été créer par Napoléon en 1800 pour créer et mettre en circulation la monnaie fiudciaire, a partir de 1847 elle à eu le monopole d’émission de la monnaie.
– Elle va , supervisé le fonctionnement des marchés financier assuré le respect de la réglementation du risque ( rotio de solvabilité) = vérifier la stabilité des banques, leur capacité a faire face aux exigences qui leur sont soumises.
– Elle va jouer le rôle de banquier de dernier ressort en cas de crise systémique, crise du système bancaire. C’est la banque centrale qui va intervenir quoi qu’il arrive si le système est en crise. Ex : avec la crise des subprime il y a eu un pb de liquidité entre les banques pcq tout les jours les banques se prêtent entre elles. En temps normal les banques ont assez confiance au système pour se prêter entre elles, mais avec la crise les banques pour assurer leurs positions ont eu peur de prêter = pb de liquidité. Si la banque ne peut pas payer ces dettes = défaut de paiement = faillites. Donc la banque centrale a prêter de l’argent aux banques pour éviter que les banques se retrouvent en défaut de paiement. Le système financier a retrouver une certaine stabilité grâce a la banque centrale.
La nécessité d’une banque centrale est lié au système de refinancement ( vue dans l’exemple) transfert de monnaie entre les banques commerciales.
La banque centrale a pour rôle de réguler et contrôler le système bancaire : la banque de France a effectuer des stress test pour contrôler la stabilité financière face à un événement comme par exemple le défaut de paiement de la Grèce.
2) La création monétaire
Le processus de création monétaire se fait a travers les institutions financière ( les banques).
La création monétaire c’est la conversion d’une créance contre de la monnaie.
Ex: le client achète des marchandises a son fournisseur, son fournisseur lui livre les marchandises or le client n’as pas la monnaie nécessaire pour payer son fournisseur, que va faire le client? il va aller a sa banque et faire un emprunt de 1000e pour aller payer son fournisseur du montant de 1000e, avant cette emprunts, la masse monétaire en circulation était 0 euro après l’emprunts la masse monétaire en circulation est de 1000 euro. Ainsi on dit que il y a eu création monétaire ex nihilo ( à partir de rien ). Ainsi les acteurs qui créer de la monnaie sont au nombres de 3:
– Les banques commerciales lorsqu’elle octroie des prêts, créer de la monnaie
– Le Trésor public, lorsqu’il émet des bon du trésors qui sont souscrites par les banques, créer de la monnaie
– La Banque centrale créer de la monnaie en échangeant les devises des banques en monnaie nationale ou en euro.
Mécanisme et limites:
On représente généralement la situation comptable d’un agent économique sous forme d’un compte, ce compte est subdivisé en 2 parties: actif/passif. A l’actif du bilan de la banque il y a l’ensemble des créance de la banque. Dans le passif il y a l’ensemble des fonds de la banques.
Un individu va demander un crédit à la banque: 10 000euro, le bilan de la banque se constitue comme suit: Lorsque le client demande son emprunt, le crédit accordé a la banque s’inscrit à l’actif de la banque puisque lorsqu’elle prête de l’argent le client est endetté vis-à-vis de la banque et la banque est créditrice du client, en contre partie de la dette du client, la banque va lui donner 10 000e qu’elle met sur compte courant du client qui apparait en passif. Il y a eu création monétaire d’un montant de 10 000euro a partir de rien du tout : création ex nihilio.
Mécanisme inverse, le client doit rembourser sa banque un jour ou l’autre : crédit accordé 0 actif, et Compte du client 0, passif. Création monétaire est de 0.
Les crédit font les dépôts et non pas l’inverse.
Reserve de dépôts obligatoire pour permettre aux banques de réaliser d’autres prêts
Le faite de prêter 10 000 la banque sait qu’une partie de cette argent va rester dans ces comptes puisqu’elle a un tôt de reserve obligatoire à respecter, donc si la banque a un taux de reserve obligatoire de 10 % alors la banque doit être obliger de garder dans son passif 10% de la somme cad 1000 euros, donc les 9000euros qu’ils reste la banque pourra les prêter. Ces 9000euro la banque va les prêter a un autre individus qui va avoir un compte de 9000 mais la banque doit garder 10% des 9000 de se client n2, il va donc se retrouver avec 900 de reserve en plus.
Il y a une effet multiplicateur de crédit : c’est la création monétaire en cascade issue d’une première création monétaire. Il représente la cascade de crédit accordé suite une première création monétaire. Le système bancaire a donc un pouvoir de création monétaire très grand.
Les limites de la création monétaire sont les suivantes : ??
B. La demande de monnaie
3 approche selon l’optique théorique choisie.
1) La neutralité de la monnaie : l’approche classique et néo-classique
Neutralité de la monnaie.
Approche du taux d’intérêt : sur le marché du capital, le taux d’intérêt est le prix du capital.
Pour les classiques et néo-classique il faut étudier comment se forme le taux d’intérêt.
Sur le marché du capital, le taux d’intérêt est le prix du capital. Il y a les offreurs et les demandeurs du capital. On offre des liquidité. Les offreur de capitaux sont ceux qui vont épargner. Cette offre est une fonction croissante du taux d’intérêt. Plus le taux d’intérêt est élevé plus les agents vont épargné aujourd’hui pour consommer plus demain et avoir un taux de rémunération élevé, ainsi les ménages vont épargner aujourd’hui pour consommer demain. En contre partie on a une demande de capital par les entrepreneurs, les producteurs, dans le but d’invertir aujourd’hui pour produire et faire face a la demande demain. Cette fonction est décroissante du taux d’intérêt. En effet plus le taux d’intérêt est élevé moins les entreprises vont demander de capitale et a contrario plus le taux d’intérêt est bas plus la demande de capital sera élevé et plus l’investissement sera élevé. Il y a donc une confrontation entre l’offre et la demande et on va trouver un taux d’intérêt d’équilibre qui correspond au taux d’intérêt qui va permettre un équilibre entre l’offre et la demande de capital. Donc a ce taux il y a des offreurs de capitaux qui renoncent a consommer aujourd’hui pour consommer demain, et on a des demandeurs de capitaux qui vont demander des capitaux afin d’investir. Cette investissement d’aujourd’hui seront la consommation de demain et donc les revenus de demain. Plus le taux d’intérêt est faible plus le rendement du capital est élevé. Le taux d’intérêt correspond au prix du capital.
Le taux d’intérêt dépend des préférence des individus. Ainsi l’offre de capital et donc l’épargne et la demande de capital, sont des grandeurs qui sont indépendante de la quantité de monnaie en circulation. Dans cette conception, l’offre de capital et la demande de capitale sont indépendant de la quantité de monnaie en circulation, donc indépendant de la monnaie émise par la banque centrale. Conclusion, la confrontation entre l’offre de monnaie qui émane de la banque centrale et la demande de monnaie se fait uniquement grâce a des grandeurs réelles et non pas monétaire. La monnaie n’a pas d’impact sur le taux d’intérêt et le capital. On aboutie alors a la théorie quantitative de la monnaie dans laquelle il y a une offre de monnaie Mo qui est égale a la demande de monnaie Md, or cette théorie indique que la monnaie fois la vitesse de circulation est égale au niveau des prix fois la quantité produite. Mo = Md = PQ / V
L’offre de monnaie Mo provient de la banque centrale. Donc la masse monétaire M est égale à une constante ; variable exogène donc on essaye de montrer d’où provient la demande de monnaie. Donc la monnaie en circulation va permettre d’acheté les produits qui vont être consommés. Or il ya des variables qui vont être connue, par ex la quantité produite Q est indépendante de la quantité de monnaie car c’est la quantité réel qui va être produite.
V correspond a la vitesse de circulation de la monnaie qui est donné, la monnaie circule a une même vitesse elle n’évolue pas. Et la variable est constitué par les prix.
M x V = P Q.
Cela va entrainer un conclusion particulière apporter par les classique : on connait Q, on connait V donc si il y a une augmentation de la monnaie, de la masse monétaire, alors on a forcément une augmentation générale des prix. Lorsqu’on augment la quantité de monnaie en circulation on aboutie a de l’inflation, augmentation générale des prix.
La conclusion de cette analyse classique et néo classique et de dire que la monnaie est un simple instrument qui va permettre les échanges. On dit généralement que la monnaie est un voile, elle n’as pas d’impacte dans l’économie réel qui correspond a la production réellement effectué. Il s’agit d’une analyse basique qui a pour mérite d’expliquer le lien entre la monnaie et le niveau général des prix. Et c’est une théorie qui a trouver des ex d’application ds l’hist notamment ds la période hist ou il y a eu un afflue d’or en E. Suite a l’arrivé d’or il y a eu de la monnaie en circulation et il y a eu une augmentation général du niveau des prix. Théorie simpliste basique mais explique de manière simple les liens entre la monnaie et l’économie réel.
En vérité la monnaie n’est qu’un instrument et donc la demande de monnaie ne dépend que des échanges réel, or d’autres approche comme l’approche kenésienne va introduire d’autre concept qui va permettre de voir que la monnaie n’est pas uniquement utilisé pour faire des achat et pour la consommation. La monnaie va être en partie terrorisé
2) L’analyse Keynésienne
La monnaie va être un actif, l’individu fait le choix entre la consommation et l’épargne. Est-ce que le taux d’intérêt a un impacte dans le choix entre conso et épargne? Non mais impact ds le choix des actifs, pour Keynes la monnaie est un actif qui ne présente pas de risque et dont l’avantage est d’en disposer immédiatement. La monnaie peut être détenue pour elle-même, en guise d’actif sans risque. Il y a plusieurs élément qui fait que les ménages demandes de la monnaie. 3 motifs de détention de la monnaie :
– Motifs de transaction : les agents veulent détenir de la monnaie pour faire des transaction des échanges.
– Motifs de précaution, pour faire face aux risques, on détient de la monnaie au cas ou il y a un risque demain.
– Motifs de spéculation, pour acheter des titres, pour Keynes les agents vont détenir de la monnaie pour un motif de spéculation. Ainsi les agents vont détenir plus ou moins d’actif sous forme monétaire ou sous forme de titre. L’avantage de détenir des titres c’est de profiter d’une rémunération lié a la détention de ces titres. La détention d’un titre donne droit a une rémunération ( le taux d’intérêt) si je détient le titre de propriété d’entreprise, une action la rémunération est le dividende. Si je détient des titres je prend des risques en capital, je ne suis pas sur de récupérer mon capital. L’avantage de détenir de la monnaie c’est d’être sur de pas perdre de capital.
Ainsi Keynes a introduit le lien entre la monnaie et l’économie réel. En effet son raisonnement est le suivant : KEYNESlorsque le cout des titres est bas alors le taux d’intérêt est élevé. A contrario lorsque le cout des titre est élevé le taux d’intérêt est bas.
Lorsque le cour des titres augmente alors l’individu, le consommateur, va être incité a acheter des titres car il est appâté par les gains futurs qu’il pourra faire. Lorsque les cours des titres augment l’individu va être appâté en espérant avoir des gains futurs, une plus value future. L’individu va vouloir détenir des titres et non pas de la monnaie donc le taux d’intérêt va baisser.
Raisonnement inverse, lorsque le cour des titres est trop élevé, l’individu a peur d’une moins value, d’un retournement de la conjoncture. L’agent est incité a vendre ces titres pour réaliser sa plus value et il va être incité a demander de la monnaie pour motif de spéculation. S’il vend des titres pour acheter de la monnaie, le cour des titres va baisser et le taux d’intérêt va augmenter. Ce lien entre demande de monnaie pour motif de spéculation et économie réel se fait a ce moment la. On se demande pourquoi un individu achèterai une action d’entreprise ? pour espérer avoir une plus value demain, en espérant que le cour augmente, j’anticipe le fait que l’entreprise va être florissante par ce que j’anticipe que l’entreprise réalise de bonne vente, qu’elle est rentable donc j’investie dans le titre de l’entreprise, l’entreprise sera rentable si elle minimise ses couts. Si je vend mes titres pour acheter de la monnaie je fait le lien entre l’économie réelle et l’économie monétaire.
Pour Keynes il y a un liens entre l’économie réel et la monnaie. Il passe par un motif de détention de la monnaie : le motifs de spéculation. Il n’y a plus d’indépendance entre la demande de la monnaie et l’éco réelle. Ainsi Keynes aboutie a une économie monétaire de production, la monnaie a une influence. Ainsi l’augmentation de la masse monétaire va entrainer une baisse des taux d’intérêt.
Taux d’intérêt bas : stimule l’investissement et cet investissement aujourd’hui va permettre d’embaucher aujourd’hui pour produire pour demain. Conclusion : une augmentation de la masse monétaire va entrainer une expansion de l’économie, la monnaie n’est plus neutre.
3) L’approche monétariste (Friedman 1956)
Reformule la théorie quantitative de la monnaie.
Friedman est un monétariste qui met au centre du débat la monnaie et la politique monétaire, pour lui la monnaie est un vecteur important a prendre en compte mais il rompt avec l’analyse de Keynes. Il est ok que la monnaie joue un rôle de spéculation mais il part du principe que les individus ont une optimisation inter temporelle de leurs ? et de leurs revenue. Ainsi il introduit le concept de revenue permanant différent du revenue courant.
Revenue permanant: moyenne des revenues qu’ils va percevoir dans le future. Moyenne anticipé des revenus futurs. Ainsi le revenue permanant du consommateur est stable. Si la demande de monnaie est stable ca veut dire que la demande de monnaie va dépendre des richesse anticiper des individus.
L’individu va comparer les rendements des actifs dans lesquelles il va investir par rapport a la détention de monnaie. Donc au final la stabilité du revenue permanant fait que la demande de monnaie est stable. La demande de monnaie va dépendre du revenue permanant qui est stable dans le temps et donc la demande de monnaie dépend d’un facteur stable et ne dépend pas du taux d’intérêt. Et si elle ne dépend pas du taux d’intérêt il y a une indépendance entre la monnaie et l’économie réelle. Néanmoins le pas en avant de Friedman par rapport a l’analyse classique et le fait de dire que la demande de monnaie ne dépend que faiblement du taux d’intérêt a cause du revenue transitoire, une partie du revenue est transitoire.
Les autorités monétaire doivent faire extrêmement attention a la masse monétaire en circulation et donc Friedman remet au gout du jour la théorie quantitative de la monnaie. Pour lui lorsque la Banque centrale émet de la monnaie cela entraine une augmentation du niveau général des prix et pour lui le rôle principale de la banque central est de veiller a la stabilité des prix et donc son rôle est de maintenir une masse monétaire stable.
Conclusion : on dit qu’il existe une approche dichotomique et non dichotomique de la monnaie. Dichotomique: indépendance entre la sphère réelle et la sphère monétaire. Une approche dichotomique c’est une séparation entre l’économie réelle et l’économie monétaire, il n’y a aucun lien entre la monnaie et l’économie réelle donc pour ces économiste la, la politique monétaire est inefficace et le rôle de la banque central c’est uniquement de veiller a une masse monétaire stable pour éviter une augmentation du niveau générale des prix. Et si les prix augmente, pas d’augmentation de l’économie réel.
L’approche non dichotomique c’est l’opposé : il y a un lien entre la sphère réelle et monétaire, l’économie monétaire à un impacte sur l’économie réelle et la politique monétaire peut être efficace puisqu’une augmentation de la masse monétaire en circulation va permettre de relancer l’activité économique.
Classique et néo-classique : dichotomie forte.
Les Keynésien adopte une approche non dichotomique.
Friedman, les monétariste, adopte une approche dichotomique faible car d’accord demande de monnaie impacte faible sur le taux d’intérêt.
III. L’euro, monnaie unique.
L’euro est un projet politique. C’est l’idée de mettre en place une monnaie qui va servir a l’intérieur d’une zone géographique.
Ce projet politique se base sur des axes économiques, l’avantage de l’euro c’est de favoriser les échanges parce qu’on supprime les couts de conversion. L’entreprise Allemande qui exporte ces produits, va les exporter en euro et l’entreprise française va acheter en euro.
Zone géographique lié a l’euro : la zone euro.
1) La composition de la zone euro
En 2010 il y a 27 Etats membres. Il y a 17 Etats membres de la zone euro.
Tout les pays membres de la zone euro appartiennent à l’Union européenne, la réciproque n’est pas vrai. La zone euro est une zone économique ou il y a une libre circulation des capitaux.
Etats membres de la Zone euro : France Allemagne Benelux, Espagne, Portugal, Italie, Irlande, Pays-bas, Autriche, Grèce, Slovénie, Chypre et Malte, Slovaquie, Estonie, Finlande.
322 millions d’habs en 2011.
Danemark : les évolution de la couronne danoise sont lié a l’euro.
Un certain nombre de pays ne font pas partie de la zone euro mais utilise l’euro en vertu des liens monétaire qui lie ces pays avec des pays qui utilise l’euro. La principauté D’Andor, Monaco, République de Saint Marin et le Vatican et le Lichtenenstain.
Il y a des pays qui ont aucun accord monétaire avec l’Union européenne mais qui utilise l’euro : le Monténégro et la Province du Kosovo
Il y a des pays qui utilise une monnaie qui est arrimé a l’euro et qui font partie de la zone d’influence d’un des pays membres. Ex : Le Franc pacifique en Polynésie Française. Cette euro est la monnaie d’une zone géo qui a était réfléchie et théorisée par Robert Mundell et que l’on nomme la théorie de la zone monétaire optimale. Les pays de cette zone monétaire doivent avoir des économie comparable et des structures et un Etat d’avancement économique comparable.
Dans le cadre cette théorie Mundell expose un triangle d’incompatibilité de Mundell. Mundell souligne et met en avant que dans une économie moderne l’économie ne peut pas atteindre 3 objectifs de manière simultané, le triangle d’incompatibilité. C’est 3 objectifs sont : avoir un régime de change fixe, disposer d’un politique monétaire autonome et avoir une parfaite liberté de circulations des capitaux (intégration financière).
On ne peut pas avoir ces 2 objectifs de manière concordante mais il faut lacher une des ces 3 objectifs pour se concentrer sur les deux autres.
2)Les critères d’adhésion à la zone euro
Ces critères ( de convergences) sont dictés ds le traités de Maastricht de 1992, ratifié par référendum en France. 3 critères:
– Le déficit public doit être inférieur à 3% du PIB. (France 4%)
– Une dette publique ne dépassant pas 60% du PIB. (France 80 %)
– Une inflation maîtrisée.
A cela s’ajoute: une indépendance de la banque centrale du pays et une devise nationale stable pendant au moins deux ans. Le pouvoir politique n’as aucune influence sur la banque centrale la politique monétaire est indépendante des gvts.
Si demain un des Etats membres de l’Euro doit entrer dans la zone euro, il doit respecter ces conditions. Certain économiste avance l’idée que la Grèce ne respectait pas ces critères.
Ces critères doivent aussi être respectés après l’adhésion.
L’appréciation du non respect de ces critères a été assouplie en mars 2005 sous la pression de l’All (engagée ds la procédure de déficit excessif) et de la Fr (proche de l’être): un dépassement «exceptionnel et temporaire» est désormais autorisé.L’All qui dépassait allégrement le déficit autorisé en 2005 a réformé d’une tel manière son éco que celle-ci est ds une position bien sup a celle des autres pays dont la Fr. Aujourd’hui a force d’ouvrir les vannes les Pays membres de la zone st ds des situations et des trajectoires très diverses.
B.La banque centrale européenne
Qu’est ce que la BCE ?
C’est la Banque des banques, la banque centrale européenne tout en haut de la pyramide de la construction de l’euro. Institution centrale fondamentale de l’UE. Son siège est a Francfort en All et le gouverneur de la BCE était Triché. L’objectif principal de la zone euro est de maintenir les prix. L’objectif centrale de la BCE est de maitriser l’inflation des prix. Mais la BCE n’a pas pour objectif de veiller a la croissance économique, contrairement a la banque centrale Américaine qui a pour rôle de maintenir la croissance.
La BCE chapote l’ensemble des 27 banque centrale des pays membres. Les banques centrales nationale vont relayer les choix de la politique monétaire de la BCE. La BCE a des liens plus fort avec les banque centrale des pays de la zone euro.
La BCE + Les 27 banques des Etats membres : SEBC, Système européen de banques centrales. A ne pas confondre avec l’Eurosystème: désigne l’ensemble formé par la Banque centrale européenne et les seules Banques centrales nationales des seuls Etas ayant adopté l’euro. Rôle :
– Le SEBC détermine la politique monétaire de la zone euro
– La BCE exécute les décisions du SEBC
– Les BCN sont chargées de faire appliquer les décisions de la BCE à l’échelle nationale.
La banque centrale est la seul autorisé a mettre en circulation des pièces et des billets.
Conclusion : Aspect économique : La BCE est problématique car elle a pour seul objectif de limité l’inflation.
Est-il possible d’avoir 1 même politique monétaire et 17 politique budgétaire différentes ?
Après la convergence monétaire est ce qu’il faut une convergence budgétaire ?
Aspect politique : Si on accepte un convergence budgétaire, cela veut dire que chaque gouvernement va transférer toute ou partie de la politique budgétaire au niveau européen, au niveau communautaire. Les gouvernement nationaux ont moins ou plus de leviers concernant la politique budgétaire. La France soumettrait a l’UE L’aprobation du budget de l’Etat.
La construction européenne c’est le traité de Rome : naissance de la communauté Européenne. Est-ce que l’UE se limite a une zone de libre échange, un marché géant ou est ce que l’UE c’est un marché unique mais aussi un rassemblement plus large. Est-ce qu’on reste dans une UE qui est la somme de plusieurs pays, une communauté d’Etat, ou est ce qu’on choisie de s’orienter vers une Intégration supérieur qui serait un Etat fédéral.
Chapitre 4 : Le marché
Le marché, l’une des modalités possibles de la coordination des décisions individuelles
Où l’échange à t il lieu ? Qui échange ?
Adam Smith : la main invisible.
I. Qu’est ce qu’un marché ?
A. Introduction générale au marché
Définition du marché : un marché c’est le lieu qu’on fréquente le dimanche matin.
Il y a différent producteur et différent acheteur = le marché réel.
Un marché n’est pas forcément réel, marché sur internet, marché virtuel.
Un marché c’est le lieu de rencontre fictif ou réel entre les offreurs et les demandeurs.
Sur ce marché la rencontre entre l’offre et la demande va aboutir a une équilibre qui va donner les termes de l’échange entre les offreurs et les demandeurs.
Marché = lieu d’échanges.
– L Walras : approche statique (pas d’influence de la monnaie) Analyse du marché a un moment T devrait aboutir a un équilibre en regardant l’offre et la demande. Dans ce cas on va pas regarder l’influence de la monnaie puisqu’il y a aucune information sur l’aspect financier. Ce qui est échangé ce sont les biens sur le marché
– F. Hayek : approche dynamique (importance de la monnaie) l’aspect essentiel c’est l’arbitrage dans la consommation inter temporel, ainsi pour lui le marché est un moyen d’avoir de l’information qui va permettre a l’agent de faire ces choix inter temporel. Pour lui le marché n’est pas un équilibre stable, Hayek va regarder la résolution des équilibres successif sur le marché qui vont amener à l’équilibre. Pour lui le marché est un moyen de régler les déséquilibre. Dans cette approche la monnaie a une importance considérable car la monnaie est un moyen de transférer de la valeur d’aujourd’hui a demain. Ainsi dans les choix inter temporel la monnaie a une importance fondamentale.
Typologie des marchés :
– Marché des biens et services
– Marché des capitaux : échanges qui aboutie a la fixation d’un prix d’équilibre et une quantité d’équilibre, un prix et une quantité d’échange. Sur le marché des capitaux ?
– Marché du travail : Il y a des demandeurs et des offreurs de travail, sur lequels s’échange le travail et aboutie a une quantité de travail échangé pour un prix du travail d’équilibre : le salaire.
1) L’offre
L’offre d’une entreprise : les coûts de l’entreprise
Le cout totale peut être subdiviser en deux type de couts : les couts fixes et les couts variables. Couts fixes : indépendant du niveau de production comme par exemple le loyer d’un local. Les couts variables sont les cout qui vont évolué selon les cout de production, par exemple les couts des matière première est un cout variable.
Les économie d’échelle : sont les économie réalisé par l’entreprise au fur et a mesure que l’entreprise augment la production. Plus la production se fait a grande échelle plus les couts fixe vont diminuer. Donc plus la production va augmenter plus les couts fixes unitaires vont baisser. Les économies d’échelles sont en lien avec les couts fixe. En effet plus la production est élevé plus les couts fixe vont s’imputer a des quantités élevés et donc plus les couts fixes vont être étaler. Ainsi lorsqu’il y a une baisse de couts fixe moyen.
Plus je produit plus mes couts fixes sont étalés entre les différentes quantité.
L’Entreprise fait face a des couts variables qui varient en fonction du volume de production.
Couts totale augmente avec la production. C’est la conséquence de l’augmentation du couts variable.
On va calculer le cout moyen et le cout marginale.
Le cout moyen représente le cout de production d’une unité en moyenne, il se calcule en faisant le rapport entre le cout totale et les quantité produites. Remarque : on peut aussi calculé un cout fixe moyen et un cout variable moyen.
Le cout marginal représente le cout de production de la dernière unité produite il s’agit donc du cout supplémentaire de production lorsque l’entreprise produit une unité supplémentaire. Cout supplémentaire issue d’une quantité produite supplémentaire, le cout marginal mesure la variation de cout totale issue d’une variation de la quantité d’une unité.
I. Travail et chômage, définitions
<!– [if gte mso 9]>
pensée économique contemporaine et pensée économique libérale et pensée economique neoclassique et pensée économique classique et pensée économique keynésienne et pensée économique contemporaine cours et pensée économique moderne et pensée économique pdf et pensée économique adam smith et pensée économique marxiste et pensée économique de keynes et pensée économique préclassique et pensée économique physiocrates et pensée économique dominante 19ème siècle et pensée économique résumé et pensée économique antique et pensée économique actuelle et pensée économique islamique et pensée économique classique cours et pensée économique hétérodoxe et pensée économique et la pensée économique et la pensée économique de keynes et la pensée économique depuis keynes et la pensée économique contemporaine et la pensée économique française et la pensée économique moderne et la pensée économique et sociale de calvin et la pensée économique monétariste et la pensée économique classique et la pensée économique pdf et la pensée économique keynésienne et la pensée économique mercantiliste et la pensée économique de keynes pdf et la pensée économique néoclassique et la pensée économique médiévale et la pensée économique de karl marx et la pensée économique des physiocrates pdf et la pensée économique de joseph schumpeter et la pensée économique du moyen age et la pensée économique arabo-musulmane et les courants de pensée économique et définition d’une pensée économique et pensée économique d’aujourd’hui et qu’est ce que la pensée économique et pensée économique définition et pensee economique mercantiliste et pensée economique cours et pensee economique medievale et pensee economique allemande et pensée économique au moyen age et pensée économique anglais et pensee economique autrichienne et pensée économique africaine et la pensée économique avant adam smith et la pensée économique antique et médiévale et la pensée économique avant 1974 et la pensée economique avant la crise de 1974 et pensée économique saint augustin et pensée économique dans l’antiquité et pensee economique de l’antiquite et pensée économique mark blaug et la pensée économique blaug et la pensée économique contemporaine bernard bernier et les courants de pensée économique bts et histoire de la pensée économique bréal et pensée économique contemporaine pdf et pensée économique classique pdf et pensée économique cours pdf et pensée critique économique et histoire pensee economique cours et la pensée économique chinoise et pensée économique néoclassique et pensée politique et économique cours et pensee economique de l’antiquite grecque et pensée économique de marx et pensée économique de smith et pensée économique des classiques et pensée economique de ricardo et pensée économique de sismondi et pensée économique def et pensee economique doc et pensée développement économique et pensée économique en anglais et traduire pensée économique en anglais et histoire de la pensée économique examen et histoire de la pensée économique en 60 auteurs et la pensée économique origine et développement et la pensée economique l’ecole classique auteurs français et ecole pensee economique et histoire de la pensée économique en pdf et histoire de la pensée économique en anglais et evolution pensee economique et histoire de la pensée économique en islam et la pensée economique l’ecole classique et histoire de la pensée économique en éducation et introduction a la pensée économique en éducation et histoire de la pensée économique fiche et histoire de la pensée économique fsjes et fiche pensée économique et pensée économique grecque et pensée économique de gauche et histoire de la pensée économique ghislain deleplace et histoire de la pensée économique gérard marie henry et grande pensée économique et la pensée économique des grecs rejoint elle celle de la modernité et pensée économique histoire et pensée économique hayek et histoire pensée économique pdf et histoire de la pensée économique introduction et innovation pensée économique et la pensée économique judéo-chrétienne et la pensée économique de jean baptiste say et la pensée économique de john stuart mill et histoire de la pensée économique jean marc daniel et misère de la pensée économique jorion et pensée économique karl marx et pensée économique keynes et résumé pensée économique keynes et pensée économique libérale ou keynésienne et la pensée économique de keynes chapitre 1 et la pensée économique de keynes poulon et pensée économique les classiques et courant de pensée économique libérale et pensée marginaliste économie et pensée économique musulmane et la pensée économique médiévale rupture ou continuité avec l’antiquité et la pensée économique mercantiliste pdf et la pensée economique marxisme et histoire de la pensée économique marx et histoire de la pensée économique maxi fiches et histoire de la pensée économique master et pensée économique néolibérale et la pensée économique néoclassique pdf et courant de pensée économique néoclassique et nouvelle pensée économique et histoire de la pensée économique néoclassique et pensée économique orthodoxe et mark blaug la pensée économique origine et développement et histoire de la pensée économique ouzzif et pensée économique ppt et la pensée économique préclassique pdf et la pensée économique pendant la révolution française et la pensée économique priceminister et école de pensée économique pdf et histoire de la pensée économique qcm et qcm pensée économique et la pensée économique de quesnay et pensée économique richesse et la pensée économique romaine et histoire de la pensée économique résumé et histoire de la pensée économique résumé pdf et histoire de la pensée économique ricardo et histoire de la pensée économique résumé s5 et la pensée économique de robert owen et histoire de la pensée économique roger dehem et pensée économique scolastique et pensée économique schumpeter et pensée économique s5 et pensée économique socialisme et la pensée économique s1 et histoire de la pensée économique s5 et histoire de la pensée économique schumpeter et histoire de la pensée économique s5 pdf et histoire de la pensée économique sujet et la pensee economique des scolastiques doctrines et methodes et schema pensee economique et histoire de la pensée économique s1 et histoire de la pensée économique slideshare et pensée économique traduction anglais et tableau pensée économique et histoire de la pensée économique td et pensée économique unique et une pensée économique et une pensée économique définition et histoire de la pensée économique udem et histoire de la pensée économique unifr et histoire de la pensée économique ulaval et histoire de la pensée économique ulb et histoire de la pensée économique uqam et histoire de la pensée économique unine et histoire de la pensée économique video et histoire de la pensée économique youtube et la pensée économique du xvie au xixe siècle et histoire de la pensée économique pour les nuls et